La tête vivante (1961)
Il est dangereux de fouiller les tombes aztèques couvertes de plantes.
En voyant l'un d'eux être mystérieusement assassiné ses derniers se lamentent.
Serait ce des momies les vraies assassins, l'idée est charmante.
Mais que me dite vous là, ce n'est pas possible, c'est La tête vivante.
Bonjour à vous tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous à La tête vivante de Chano Urueta à qui nous devons Le baron de la terreur, Le miroir de la sorcière ou encore Le monstre ressuscité. Alors qu'ils font des fouilles dans un ancien temple aztèque, 3 archéologues vont trouver une tête décapitée ainsi qu'une momie et divers artefacts, malheureusement pour eux une malédiction pèsent sur tout ceux qui auront l'impudence de profaner ce tombeau, ils vont devoir l'apprendre à leur dépends. Bon, j'ai beaucoup aimé l'idée de ce film qui nous offre un mythe original de ceux que l'on pourrait appeler les momies, en effet point de corps poussiéreux en bandelettes mais à la place une tête décapitée et son exécuteur aussi bien préservé que lorsqu'il était en vie il y a 500 ans, les décors sont jolis et quel plaisir de ce plonger dès le début du film chez les aztèques et leurs dieux au noms imprononçables, les effets ne sont pas tous exceptionnels comme cette bague qui fait de la lumière plutôt gadget ou ses blessures partiellement convaincantes, en revanche la tête coupée fait son petit effet tout comme ses cœurs retirés des poitrines de leurs hôtes, l'intrigue se répète mais garde notre intérêt par son originalité. Au niveaux des acteurs je retiens la prestation de Mauricio Garcés dont j'aime bien le jeu, la présence d'Abel Salazar que j'avais adoré dans La baron de la terreur et qui joue ici l'enquêteur ou encore l'acteur jouant le grand prêtre dont je n'ai pas retrouvé le nom. Bref, un film qui sans être exceptionnelle arrive à tirer son épingle du jeu de par son originalité, à réserver seulement aux grands fans du genre, allez tchuss crevez tous mouhaha 😈😈😈.
Un groupe d'archéologues dirigé par le professeur Muller vient de mettre à jour le tombeau d'Acatl, un grand guerrier aztèque. Malgré la mise en garde gravée sur son sarcophage qui condamne tout profanateur à subir la fureur du puissant dieu Huitzilopoztli, la momie est emportée et exposée dans la galerie privée du professeur. Dès lors, une étrange malédiction s'abat sur tous les membres de l'expédition.