La dernière femme sur terre (1960)
Un triangle amoureux peut vite tourner à l'enfer.
Encore plus quand aucunes personnes n'est en vie pour départager ses gens en colères.
Dans ce genre de situation que peut on bien faire.
C'est ce que doit sûrement se demander La dernière femme sur terre.
Bonjour à tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous à La dernière femme sur terre de Roger Corman à qui nous devons énormément de films comme L'attaque des crabes géants, The undead ou La femme guêpe. Alors qu'ils font de la plongée, Evelyn, Harold et Martin perçoivent que quelque chose ne va pas quand ils remontent car l'air semble s'être raréfier, ils vont vite comprendre qu'ils sont peut-être les 3 derniers survivants de ce monde. Bon, je dois avouer que ce film est classifié horreur mais je ne comprend pas très bien pourquoi, le film dur à peine 1h10 et je l'ai pourtant trouvé assez long, on y voit donc la survie de 3 personnes qui ne font que pêcher du poisson et survivre jusqu'à un final aussi rose que le pessimisme du film, les décors sont variés à travers l'île, ses extérieurs et ses intérieurs, niveaux effets spéciaux je ne suis pas sûr d'en avoir vu si ce n'est une petite blessure à la tête causée par une bagarre n'ayant vraiment rien d'exceptionnel, le film est à mon goût beaucoup trop long pour ce qu'il souhaite raconter ce qui nuit à l'idée de base. Au niveaux des acteurs, je ne serai vraiment pas juger de leur prestation au vue du film, Anthony Carbone n'arrive pas à jouer parfaitement le mari jaloux, Betsy Jones-Moreland est critiquable sans pour autant si mal jouer et Robert Towne est plutôt bon dans son rôle antipathique malgré quelques exagérations de jeux. Bref, un film que je ne vous conseille pas, je pense que vous trouverez d'autres petites pépites dans la grande filmographie de Roger Corman, allez tchuss crevez tous mouhaha 😈😈😈.
Evelyn, son mari, Harold et leur ami, Martin, font de la plongée sous-marine en vacances à Porto Rico. Quand ils remontent à la surface, ils concluent progressivement qu'une inexplicable et provisoire interruption d'oxygène a tué tout le monde sur l'île, peut-être dans le monde !