Après une séquence d’introduction située en Israël, on se retrouve soudainement dans les rues parisiennes à promener le chien de Niels Arestrup ; un sentiment de confusion qui ne nous quittera pas tout au long du film. La dune s’intéresse en fait aux deux personnages que sont Ruben et ce mystérieux homme qui à priori ne semblent pas se connaître mais partageant assurément un lien. Disons-le franchement même si le scénario tente d’alimenter le suspense sur cette relation, on devine aisément de quoi il en retourne. Quant à l’enquête menée par l’inspecteur, elle n’est pas très captivante et les occasions de décrocher ne manquent malheureusement pas.