Fingers in the nose
Le deuxième Sherlock Holmes de ce réalisateur que je vois, sorti en 1946, quatre ans après L'Arme secrète (voir ma critique par ailleurs). Le détective privé et son fidèle Watson sont incarnés par...
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le 11 juil. 2011
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Quatorze fois Basil Rathbone aura été Sherlock Holmes et parmi cette liste je n’avais encore jamais vu LA FEMME EN VERT. Que dire... L’interprétation et la réalisation sont séduisantes, les dialogues sont vifs mais le suspens n’est guère au rendez-vous, le manque de personnages permettant de rapidement comprendre qui fait quoi.
Cependant, le plus contrariant est l’acharnement réservé au bedonnant Docteur Watson joué - seize fois au total si j’ai bien compté - par le toujours très bon Nigel Bruce (aucun lien de parenté mais je vais revérifier quand même). Toujours à côté de la plaque, imbécile, il est là pour être sujet de moquerie et faire rire le public. 70 ans plus tard, ça ne fonctionne plus. Malgré quelques points intéressants, autant dire que LA FEMME EN VERT est une série B bien dispensable.
Créée
le 13 févr. 2018
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