Quoiqu'on en dise le "cape et d'épée" est un genre difficile. Ça commence en fanfare avec de très belles images, une mise en place passionnante, une Sophie Marceau sémillante et un Mazarin impayable, le souci c'est qu'il faut tenir deux heures (alors que 90 minutes auraient suffi) et que l'attention retombe comme un soufflé. L'histoire devient vite inintéressante ponctuée de duels lassants. L'interprétation reste moyenne (y compris Noiret). Seule Marceau arrive à s'en tirer (et encore pas tout le temps). Ça se voulait un hommage aux séries B, c'est un peu raté !