On ne remerciera jamais assez Mathieu Kassovitz d’avoir fait révélé Vincent Cassel avec La haine en 1995, même s’il l’avait déjà fait plus ou moins 3 ans auparavant avec Métisse.
Un des meilleurs films des années 90, malgré des longueurs inutiles vers la fin du film. Des dialogues, et une voix off qui conçoit une narration très brillante.
Une étude sociale, très drôle mais aussi très pessimiste, même si on sait qu’avec Kassovitz c’est souvent très caricaturé voir surréaliste.
Un film en couleur mono, au teint clair. Un prix de la mise en scène méritée.
Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5