Une maison où je n’habiterais pas

"La maison hantée", un titre finalement simple pour un film efficace, particulièrement lorqu’il est visionné à l’âge où Laura Ingalls, Miss Fine ou encore Mitch Buchannon rythment les grandes vacances...
Ce film, inspiré d’une histoire vraie, a su me tenir en haleine du début à la fin tout en me faisant froid dans le dos.
Certes de piètres effets spéciaux, des bruitages parfois exagérés mais un jeu d’acteur plutôt convaincant.
(Ces deux premières caractéristiques ont suscité mon attention lors du dernier visionnage assez récent, mais je peux vous assurer qu’à l’âge de douze ans ils ne m’ont absolument pas troublé).
Le film transcrit une ambiance pesante où esprits maléfiques et entités démoniaques sont au rendez-vous, et identifiés par le célèbre couple "Warren".
La famille Smurl s’est rendue célèbre aux États-Unis, par ses expériences paranormales vécues au sein de leur maison dans les années 70', et ce sont ces phénomènes qui ont pu aboutir à ce film qui représente pour ma part l’ un des meilleurs du genre.