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S’il s’avère bien plus réussi que le deuxième volet, c’est que The Final Conflict recouvre l’atmosphère démoniaque de l’œuvre originale ainsi que son cinéaste, Richard Donner, cette fois en qualité de producteur. Le chien, le monastère reclus dans une campagne effrayante, une réalisation maîtrisée qui sait prendre le temps pour mieux nous tenir en haleine lors de retournements mémorables – la séquence de chasse à courre, l’interview télévisée, le suicide de l’ambassadeur dans son bureau – que porte un sens tout particulier du gore, l’ancrage mystique d’un récit gorgé de symboles religieux, les envolées chorales d’un Jerry Goldsmith à son meilleur… La recette fonctionne une fois encore, le spectacle nous emporte du début à la fin en dépit d’une clausule vite expédiée et facile qui choisit le happy end au lieu d’imposer la noirceur attendue.
Dans le rôle principal, Sam Neill convainc et parvient à donner à son personnage une ambiguïté véritable oscillant entre l’éclat d’un esprit cultivé et fin, les séductions d’un malin et la détermination froide de l’Antéchrist. Voilà un long métrage injustement mésestimé qu’il convient de réévaluer sans plus tarder.
Créée
le 19 sept. 2021
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