Un desert, un pneu crevé, un serpent.
Ça pourrait être les bons ingrédients pour un film mais trop mal exploités dans Rattlesnake.
Après la guérison miraculeuse et illusoire de sa fille, la personnage principale doit payer d'une âme ce bon geste.
J'ai cru qu'ils allaient exploiter Papa Legba mais au final rien n'est clair, et surtout pas la motivation à tuer quelqu'un. Pourtant les occasions ne manquent pas et le film commence à énerver dans sa deuxième partie à cause de toutes ces occasions ratées d'en finir.
C'est peut-être le film de la semaine de Netflix mais pas le film de l'année.