Joie éternelle.
Le monde chanté par des humains entraînés dans leur danse des profondeurs.
Par
le 25 déc. 2017
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Serge Livrozet, personnage haut en couleur, dans son lit, à bout de souffle, revenant sur une vie de combat, contre un système en bout de course, mais qui a encore certaines cartes à jouer pour perdurer, vile nécessité systémique.
La réalisation est propre, épurée, les choix de Nicolas Droic accompagnent avec perfection ce discours existentiel, profond et honnête de Serge qui nous fait rire des malheurs de ce monde, en gardant en tête les beautés qu'il faut en tirer tout en prenant garde à ne pas se perdre dans celles-ci afin de ne pas oublier ce fracas quotidien et maintenir une lutte permanente des idées.
On en ressort léger, avec un sentiment amical et fraternel pour cet homme, duquel on a l'agréable impression d'avoir partagé le quotidien et bien plus.
Si vous cherchez poésie et lucidité philosophique, vous ne serez déçus, courez.
Créée
le 29 sept. 2017
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