J’avais bien aimé le livre de Stephen King. J’avais trouvé l’histoire assez intéressante. J’ai décidé de me lancer dans l’adaptation cinématographique sortie en 1996 et réalisée par Tom Holland. Ayant aimé le livre, je suis vraiment mitigé à la fin du visionnage. Voici le synopsis de « La peau sur les os » :
« Billy Halleck, un avocat un peu enveloppé rentre de soirée avec sa femme en voiture. Lors du trajet et d'une gâterie de sa femme, Billy écrase malencontreusement une gitane qui traversait la route... Les choses ne vont pas aller mieux quand petit à petit il va se rendre compte qu'il perds du poids. »
Il ne faut pas longtemps pour se rendre compte que vous n’aurez pas un « Carrie » ou un « Misery ». Les acteurs ne se subliment pas, la réalisation est vraiment loin d’être excellente. On sait que Robert John Burke est loin d’être gros, et la manière dont on a essayé de le grossir est assez kitsch on y croit pas une seconde.
Malgré tout, on suit ce film dû au capital sympathie de l’idée de départ. C’est original et on suit le déroulement en faisant abstraction des nombreux défauts du film. En fait, il faut prendre ce film comme un épisode des Contes de la Crypte. C’est kitsch mais sympathique.
En résumé, « La peau sur les os » vous fait passer un moment sympathique mais rien de bien exceptionnel au programme.