Critiques de La Peur

Rawi
7

Angoisse

La peur est l'ultime collaboration entre Ingrid Bergman et Roberto Rosselini. Adapté d'une nouvelle de Stefan Zweig, ce film reste pourtant le plus méconnu de leur filmographie commune. Sa...

Par

le 8 oct. 2014

29 j'aime

7

Plume231
5

La déception !!!

Cette adaptation d'une nouvelle de Stefan Zweig (que bizarrement je n'ai pas lue alors que j'ai pas mal traîné dans l'univers de l'auteur de "La Confusion des sentiments" !!!) est la dernière...

le 21 août 2015

6 j'aime

4

Fatpooper
5

La punition

Mmmouais, bofbof. L'intrigue n'est pas inintéressante mais c'est assez faiblement développé ; l'auteur aurait pu aller plus loin, jouer davantage avec ce chantage et faire participer le spectateur un...

le 8 juil. 2018

2 j'aime

ZoltanZidi
4

L'ennuie

Malgré une histoire solide et une durée expresse je n'ai aucune affinité avec ce film.j'ai beaucoup de mal avec le système italien de doublage, avec le fait que le film se passe en Allemagne (même si...

le 7 mai 2021

1 j'aime

Cinephile-doux
7

La ligne de crête des sentiments

Revoir La peur de Rossellini, adaptation de Stefan Zweig, sur grand écran, c'est bien entendu un plaisir de gourmet. Le cinéaste prouve s'il en était besoin qu'il a su s'éloigner du néo-réalisme dans...

le 26 juin 2021

1 j'aime

Serge-mx
3

Critique de par Serge LEFORT

Ingrid Bergman n'est pas convaincante dans cette adaptation dont la mise en scène est beaucoup trop convenue.Lire : Stefan ZWEIG, La peur, 1935 [Partage en ligne].

le 24 mai 2023

arcenillos-120
7

La peur...ou le poids du mensonge

Ce film aurait pu être sous-titré Le poids du mensonge. Ingrid Bergman a une relation adultère mais elle n'assume pas (ni d'avouer la vérité à son mari, ni d'en supporter les conséquences). L'ex...

le 26 déc. 2021

chocapicrocholin
7

On ne naît pas femme, on le devient (dans la peur)

Evacuons la forme : l'image est belle, le film rythmé et Rossellini sait sublimer une Bergman qui crève l'écran. On s'amusera aussi à retrouver Klaus Kinski dans un tout petit rôle. On a donc plaisir...

le 5 juil. 2021

YgorParizel
7

Critique de par Ygor Parizel

Étonnant dans la filmographie de R. Rossellini que ce long-métrage adapté de S. Zweig. En effet, on est dans une sorte de film noir avec une histoire d'adultère suivi d'un chantage. Même dans la mise...

le 21 nov. 2016