SI
un film qui critique les notions de la vitesse, de la surcharge de travail, prône l'ennui, le rêve, le silence comme valeurs magiques... des dessins un peu Hannah Barbera mais pas trop, des répliques...
le 11 déc. 2013
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très partagée sur ce film : il date de 1970, semble porté par un esprit nourri d'imaginaire quasi psychédélique, mais prône un certain classicisme (le chef d'orchestre dort dans la partition de la berceuse de Brahms, archétype de l'air ultra classique qui berce les gosses et habille les ascenseurs ; les deux filles des maths et des mots s'appellent rime et raison : la rime est le symbole de la poésie classique, donc conservatrice ; la raison renvoie implicitement au rationnel, l'envers de la fantaisie ; on combat la haine avec le travail, nommé "industry" - c'est là que j'ai vraiment tiqué ; l'expression "aujourd'hui, on ne (...) plus" apparaît souvent dans le film, impliquant un certain "c'était mieux avant" ; etc.) - plusieurs thèmes auraient pu me parler, et, en ce sens, je partage les avis des autres internautes. mais n'oublions pas que ce film date de 1970, juste après mai 68, alors, dans ce contexte, je le trouve hyper réac' et conservateur (mais c'est une découverte, tout de même!)
Créée
le 30 janv. 2023
Critique lue 35 fois
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le 11 déc. 2013
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très partagée sur ce film : il date de 1970, semble porté par un esprit nourri d'imaginaire quasi psychédélique, mais prône un certain classicisme (le chef d'orchestre dort dans la partition de la...
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le 30 janv. 2023
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