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Clair obscur
J'ai mis un moment à décider si j'aimais ou non le film, si j'appréciais sa construction à la Da Vinci code pour intellectuels, ses excès de verbe, son côté théâtral. Mais puisqu'il continue à me...
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le 31 mars 2011
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Clair obscur
J'ai mis un moment à décider si j'aimais ou non le film, si j'appréciais sa construction à la Da Vinci code pour intellectuels, ses excès de verbe, son côté théâtral.
Mais puisqu'il continue à me hanter alors que je l'ai regardé il y a déjà plusieurs mois, je me rends à l'évidence : oui, j'ai aimé.
J'ai aimé le lit monumental où l'on naît, où l'on vit, où l'on baise et où l'on meurt.
J'ai aimé la lumière et la construction des plans, irréprochables comme toujours.
J'ai aimé certaines scènes vivantes et enjouées.
J'ai aimé le toit de la maison de Rembrandt.
J'ai aimé la façon très crue dont sont filmées les scènes de sexe.
Mais par dessus tout, j'ai aimé le couple principal et leur relation, et j'ai trouvé que les deux acteurs (Martin Freeman et Eva Birthistle) étaient vraiment convaincants. Plus que convaincants. Vrais.
Mais puisqu'il continue à me hanter alors que je l'ai regardé il y a déjà plusieurs mois, je me rends à l'évidence : oui, j'ai aimé.
J'ai aimé le lit monumental où l'on naît, où l'on vit, où l'on baise et où l'on meurt.
J'ai aimé la lumière et la construction des plans, irréprochables comme toujours.
J'ai aimé certaines scènes vivantes et enjouées.
J'ai aimé le toit de la maison de Rembrandt.
J'ai aimé la façon très crue dont sont filmées les scènes de sexe.
Mais par dessus tout, j'ai aimé le couple principal et leur relation, et j'ai trouvé que les deux acteurs (Martin Freeman et Eva Birthistle) étaient vraiment convaincants. Plus que convaincants. Vrais.
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le 31 mars 2011
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