L'actualité sur Le celluloïd et le marbre

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Capuano

a attribué 7/10 au film

Le celluloïd et le marbre

1966 • Documentaire de Éric Rohmer

Synopsis : En 1955, Éric Rohmer publiait dans les Cahiers du cinéma une série d'articles intitulée « Le Celluloïd et le marbre ». Il y faisait un état des lieux polémique et désenchanté de l'art au 20è siècle, pour mieux rehausser par contraste la vraie modernité du cinéma. Dix ans après, Rohmer reprend ce principe dans un film où il demande à un certain nombre d'artistes contemporains de situer leur art par rapport au cinéma. « Si l'on fait l'effort d'attention nécessaire pour suivre cette étude assez ardue, on s'aperçoit qu'elle est rigoureusement organisée, que pas une seconde la tentation de l'exercice formel n'a détourné Éric Rohmer de son propos. Les entretiens ont été filmés de la manière la plus simple, le montage est parfaitement classique. ». Jacques Siclier, Le Monde, février 1966

Bachira

a attribué 7/10 au film

Le celluloïd et le marbre

1966 • Documentaire de Éric Rohmer

Synopsis : En 1955, Éric Rohmer publiait dans les Cahiers du cinéma une série d'articles intitulée « Le Celluloïd et le marbre ». Il y faisait un état des lieux polémique et désenchanté de l'art au 20è siècle, pour mieux rehausser par contraste la vraie modernité du cinéma. Dix ans après, Rohmer reprend ce principe dans un film où il demande à un certain nombre d'artistes contemporains de situer leur art par rapport au cinéma. « Si l'on fait l'effort d'attention nécessaire pour suivre cette étude assez ardue, on s'aperçoit qu'elle est rigoureusement organisée, que pas une seconde la tentation de l'exercice formel n'a détourné Éric Rohmer de son propos. Les entretiens ont été filmés de la manière la plus simple, le montage est parfaitement classique. ». Jacques Siclier, Le Monde, février 1966

BabibouBabibou
Le celluloïd et le marbre

1966 • Documentaire de Éric Rohmer

Synopsis : En 1955, Éric Rohmer publiait dans les Cahiers du cinéma une série d'articles intitulée « Le Celluloïd et le marbre ». Il y faisait un état des lieux polémique et désenchanté de l'art au 20è siècle, pour mieux rehausser par contraste la vraie modernité du cinéma. Dix ans après, Rohmer reprend ce principe dans un film où il demande à un certain nombre d'artistes contemporains de situer leur art par rapport au cinéma. « Si l'on fait l'effort d'attention nécessaire pour suivre cette étude assez ardue, on s'aperçoit qu'elle est rigoureusement organisée, que pas une seconde la tentation de l'exercice formel n'a détourné Éric Rohmer de son propos. Les entretiens ont été filmés de la manière la plus simple, le montage est parfaitement classique. ». Jacques Siclier, Le Monde, février 1966

raphael aubanel
Le celluloïd et le marbre

1966 • Documentaire de Éric Rohmer

Synopsis : En 1955, Éric Rohmer publiait dans les Cahiers du cinéma une série d'articles intitulée « Le Celluloïd et le marbre ». Il y faisait un état des lieux polémique et désenchanté de l'art au 20è siècle, pour mieux rehausser par contraste la vraie modernité du cinéma. Dix ans après, Rohmer reprend ce principe dans un film où il demande à un certain nombre d'artistes contemporains de situer leur art par rapport au cinéma. « Si l'on fait l'effort d'attention nécessaire pour suivre cette étude assez ardue, on s'aperçoit qu'elle est rigoureusement organisée, que pas une seconde la tentation de l'exercice formel n'a détourné Éric Rohmer de son propos. Les entretiens ont été filmés de la manière la plus simple, le montage est parfaitement classique. ». Jacques Siclier, Le Monde, février 1966

NoComprisan

a attribué 7/10 au film

Le celluloïd et le marbre

1966 • Documentaire de Éric Rohmer

Synopsis : En 1955, Éric Rohmer publiait dans les Cahiers du cinéma une série d'articles intitulée « Le Celluloïd et le marbre ». Il y faisait un état des lieux polémique et désenchanté de l'art au 20è siècle, pour mieux rehausser par contraste la vraie modernité du cinéma. Dix ans après, Rohmer reprend ce principe dans un film où il demande à un certain nombre d'artistes contemporains de situer leur art par rapport au cinéma. « Si l'on fait l'effort d'attention nécessaire pour suivre cette étude assez ardue, on s'aperçoit qu'elle est rigoureusement organisée, que pas une seconde la tentation de l'exercice formel n'a détourné Éric Rohmer de son propos. Les entretiens ont été filmés de la manière la plus simple, le montage est parfaitement classique. ». Jacques Siclier, Le Monde, février 1966

Mlemagnen

a attribué 7/10 au film

Le celluloïd et le marbre

1966 • Documentaire de Éric Rohmer

Synopsis : En 1955, Éric Rohmer publiait dans les Cahiers du cinéma une série d'articles intitulée « Le Celluloïd et le marbre ». Il y faisait un état des lieux polémique et désenchanté de l'art au 20è siècle, pour mieux rehausser par contraste la vraie modernité du cinéma. Dix ans après, Rohmer reprend ce principe dans un film où il demande à un certain nombre d'artistes contemporains de situer leur art par rapport au cinéma. « Si l'on fait l'effort d'attention nécessaire pour suivre cette étude assez ardue, on s'aperçoit qu'elle est rigoureusement organisée, que pas une seconde la tentation de l'exercice formel n'a détourné Éric Rohmer de son propos. Les entretiens ont été filmés de la manière la plus simple, le montage est parfaitement classique. ». Jacques Siclier, Le Monde, février 1966

lechesnebaptiste
Le celluloïd et le marbre

1966 • Documentaire de Éric Rohmer

Synopsis : En 1955, Éric Rohmer publiait dans les Cahiers du cinéma une série d'articles intitulée « Le Celluloïd et le marbre ». Il y faisait un état des lieux polémique et désenchanté de l'art au 20è siècle, pour mieux rehausser par contraste la vraie modernité du cinéma. Dix ans après, Rohmer reprend ce principe dans un film où il demande à un certain nombre d'artistes contemporains de situer leur art par rapport au cinéma. « Si l'on fait l'effort d'attention nécessaire pour suivre cette étude assez ardue, on s'aperçoit qu'elle est rigoureusement organisée, que pas une seconde la tentation de l'exercice formel n'a détourné Éric Rohmer de son propos. Les entretiens ont été filmés de la manière la plus simple, le montage est parfaitement classique. ». Jacques Siclier, Le Monde, février 1966

Steve Mentre

a attribué 8/10 au film

Le celluloïd et le marbre

1966 • Documentaire de Éric Rohmer

Synopsis : En 1955, Éric Rohmer publiait dans les Cahiers du cinéma une série d'articles intitulée « Le Celluloïd et le marbre ». Il y faisait un état des lieux polémique et désenchanté de l'art au 20è siècle, pour mieux rehausser par contraste la vraie modernité du cinéma. Dix ans après, Rohmer reprend ce principe dans un film où il demande à un certain nombre d'artistes contemporains de situer leur art par rapport au cinéma. « Si l'on fait l'effort d'attention nécessaire pour suivre cette étude assez ardue, on s'aperçoit qu'elle est rigoureusement organisée, que pas une seconde la tentation de l'exercice formel n'a détourné Éric Rohmer de son propos. Les entretiens ont été filmés de la manière la plus simple, le montage est parfaitement classique. ». Jacques Siclier, Le Monde, février 1966