Va savoir pourquoi j'ai ressenti une certaine fascination sur ce que semble représenter ce Château de Kafka, similaire à l'énigmatisme du concept de Solaris de qui vous voulez.
Lieu indigeste paumé, bastion de consanguinité supposé, destination brumeuse, vraiment interessant tout ce sous-entendu nébuleux, suffisamment en tous cas pour avoir envie de se taper le bouquin.
Après concernant le film faut quand même s'accrocher, morne, chiant, sans vie, je m'attends jamais à sauter de joie en lançant un Haneke, mais bon sang si Tarkovski semble représenter pour moi l'enfer du divertissement, j'aperçois parfois au loin l'autre barbu agiter son petit drapeau Autrichien.
Bon j'ai découvert une oeuvre hein :)