Entre Casablanca et Azemmour, Daoud Aoulad-Syad musarde et noue un récit existentialiste. Le cheval de vent prend ainsi les allures d’un road movie propice à visiter plusieurs thèmes tels que les liens familiaux, la transmission d’un savoir, le veuvage ou encore la part de rêve restante de nos existences.
Autour des deux personnages principaux se nouent des liens quasi filiaux tant Tahar (Mohamed Majd) fait figure de possible père de substitution pour Driss (Faouzi Bensaïdi) son compagnon de route. Lire la critique complète.