Francina Carbonell, auteure du documentaire El cielo está rojo, s’empare d’un fait réel qui vit périr quatre-vingt-un prisonniers du centre pénitentiaire San Miguel au Chili suite à un incendie. Ce fait divers tragique donna lieu à un procès que nous ne verrons pas à l’écran. Une voix off introduit le documentaire. Il s’agit de celle du juge d’instruction qui déclare ouvert le procès intenté contre la direction du centre pénitentiaire et contre quelques-uns de ses employés. Cette même voix off clôt El cielo está rojo par l’énoncé du verdict. L’affaire est complexe, le verdict sera bref, sec et glaçant. Lire la critique complète.