La Saveur d'une épouse
La fin sauve le film, mais la première moitié est difficile à avaler. Trop de personnages, trop de situations et d’enjeux insipides…Quelque peu ennuyeux… La fin sauve le film, mais la première moitié...
le 22 oct. 2023
La fin sauve le film, mais la première moitié est difficile à avaler. Trop de personnages, trop de situations et d’enjeux insipides…
Quelque peu ennuyeux… La fin sauve le film, mais la première moitié est difficile à avaler. Trop de personnages, trop de situations et d’enjeux insipides…
Un homme vit avec sa femme et sa mère et prévoit de monter un café dans son jardin. Seulement, son cadet revient à la maison avec sa femme et son gosse, et on va vite comprendre qu’il a besoin d’argent. L’argent, l’aîné en a justement besoin pour monter son affaire…
Si on va vite, chez Naruse, il y a toujours eu deux tendances : le réalisme et le mélodrame. Dans les années 50, c’est plutôt le réalisme qui va l’emporter, il adapte les romans de Fumiko Hayashi comme Le Repas ou Nuages flottants, décrivant les petits tracas de la vie de couple, on n’est pas loin d’un cinéma à la Sautet : du mélo ma non troppo. C’est ensuite avec l’influence du scénariste Zenzô Matsuyama (mari de Hideko Takamine et futur cinéaste) qu’il ira plus volontiers encore vers le mélo dans les années 60. Là, on est en 1956, et c’est Toshirô Ide seul aux manettes. Il avait adapté avec succès Le Repas, il peut bien écrire un scénario tout seul… Eh bien non.
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le 22 oct. 2023
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