Le Coucou commence de manière extrêmement intéressante. Avery nous plonge dans un récit qui semble tout droit tirer d'une histoire qu'aurait écrite Edgar Allan Poe. Une maison qui semble isolée et un personnage principal qui vient à raconter ce qui l'effraie par dessus tout.
On se rend bien compte assez rapidement que ce personnage est le chat de la maison et que ce qui l'effraie, l'obsède et qu'il va chercher à éliminer est le coucou de l'horloge.
S'ensuit à partir de là toute une série de gags où on va voir le chat tenter à tout prix d'éliminer le pauvre volatile. Dans l'humour, ça change un peu par rapport aux autres courts, même si on reste évidemment dans un type de gags qui est le même que pour les précédents films.
C'est un court plutôt sympa qui vaut surtout pour son début surprenant avant de voir Avery revenir sur quelque chose de plus traditionnel.