Ça ferraille un max
Comment se fait-il que ce film brillamment réalisé, avec une mention spéciale à la photographie, et au sujet fort, librement inspiré du conte d'Oscar Wilde, émeuve si peu et indiffère autant ? Sans...
le 28 déc. 2013
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Difficile de donner une note. Difficile aussi de sortir du cinéma comme on y est entré. Je m'attendais à un genre de Billy Eliott sans trop savoir. Je ne sais quoi penser, je reste sur le coup.
Tout semble se confronter entre un monde impitoyable, une force destructrice et ce qui n'est pas palpable, le côté sensible de l'enfance, les rêves, les passions autour de ça.
Swifty semble être capable de tout canaliser. Et pourtant ce jeu avec le feu, sans cesse présent (lorsque qu'ils s'amusent avec le marteau sur le trampoline, lorsque Swifty prend la main d'Arbor et la tend vers le câble électrique....) ne semble qu'une manière un peu brutale d'appréhender les choses.
A qui correspond ce Géant égoïste? Je penserais en premier lieu à ce ferrailleur qui semble être loin de tout sentiments humains. Mais dans cet univers hostile aux enfants, tous les adultes semblent un peu des géants égoïstes. (l'école, la mère, le frère...)
Silence religieux à la fin du film et lors de la sortie des gens.
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Créée
le 22 déc. 2013
Modifiée
le 22 déc. 2013
Critique lue 583 fois
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