Au début des années 80, Francis Perrin était une véritable star (un peu comme Pierre Richard, mais en beaucoup moins drôle), à tel point qu'il enchainait les têtes d'affiches et qu'il réalisait même les films qui le mettaient en valeur. Comme celui-ci, où avec sa gueule de peigne il se tapait absolument tout ce qui bougeait, c'en était même le sujet du film. Gamin ça me faisait marrer, mais je n'avais jamais revu ça depuis l'époque et c'est devenu... plutôt underground avec le temps. Bon, verdict : c'est au-delà de la consternation, c'est proprement abyssal, une sorte de non-film rempli de non-gags...