La bouteille de Whisky a trouvé sa dernière cachette, celle que l'on ne pourrait deviner tellement elle est farfelue : pendue sur une ficelle d'un balcon d'appartement... Pas dans la litière du chat ou dans la cuve à toilette, non, non...
Chapeau Mr Wilder, vous plantez le décor, vous avez tout compris et osez moins de quinze années après la fin de la prohibition être le premier à montrer que l'alcoolisme est une maladie, un réel fléau pour ceux qui en souffrent.
Ce film est exemplaire de par son époque : les scènes où Ray milland (Don) passent de l'état de manque à l'état d'euphorie sont d'une virtuosité, d'une réalité implacable.
Rien ne sert d'épiloguer ou de disserter sur ce film, juste le voir et l'apprécier afin de comprendre...
La fin est un poil éjectée, peu importe...
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Créée
le 24 févr. 2018
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