Faut juger l’œuvre avec un peu de recul tout de même…
A l’instar de la série il a le mérite d’être paradoxal sur tous les points.
Graphiquement c’est moche, mais cela s’explique par son contexte, il aurait du être vendu comme le pilote de la série, et pas une suite.
L’histoire sonne le chaud et le froid, des personnages devenus transparents au profit d’un arc final entre Jafar et Iago, et l’introduction d’Abis Mal.
Des enjeux allégés pour une suite qui devait vendre une vengeance du méchant principal, qui devient finalement le retournement de veste du perroquet.
Bref si vous ne voulez pas regarder la série, évitez vous le visionnage et passez directement à Aladin et le Roi des Voleurs, détaché de la série en terme de scénario.