Sublime.
Sublime.
Sublime.
Je suis encore toute retournée par ce court-métrage sombre et fascinant.
Je découvre le travail d'Alexandre Petrov. Au-delà de la technique de l'huile sur vitre, qui est tout simplement époustouflante, visuellement comme techniquement, le film m'a subjuguée en m'envoyant tout droit au fond d'un cauchemar à la réalité palpable.
Une acuité incroyable dans la traduction de l'univers de Dostoïevski.
Dire si férocement un rêve relève de la prouesse.
Je retrouve ce chaos sensible, si propre aux films russes que j'affectionne.
J'en tremble...