L'actualité sur Les Camps - Secret du pouvoir chinois
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2021 • Documentaire TV de Tania Rakhmanova
Synopsis : En images d’archives et en dessins, une plongée, nourrie de glaçants témoignages de victimes, au coeur de l’effroyable système concentrationnaire chinois, pivot du pouvoir communiste depuis quatre-vingts ans. Instauré par Mao Zedong à la fin des années 1940, c’est un immense enfer invisible, filmé une seule fois clandestinement en 1991 par un ancien prisonnier. En quatre-vingts ans, 50 millions de "contre-révolutionnaires", ennemis de classe et autres "droitiers" – intellectuels, ouvriers, paysans, gardes rouges, étudiants… – sont passés par les camps du laogai ("réforme par le travail"), le système concentrationnaire chinois, et 20 millions y ont péri, exécutés ou morts d’épuisement, de faim ou de désespoir. Instrument de domination érigé en arme de répression massive par Mao, le laogai, constitué de centaines de camps répartis sur tout le territoire, a vocation à écraser toute velléité de contestation, en fournissant, par le travail forcé, une main-d’œuvre gratuite à l’économie du pays. De la première "campagne de rectification" au Grand Bond en avant, les purges se succèdent, avant de culminer avec la révolution culturelle, quand les unités de travail urbaines se transforment en lieu de détention, et les campagnes, en lieu d'exil. Tandis que la menace de déportation pervertit les liens les plus intimes, les familles des détenus sont mises au ban de la société. Une terreur qui survit à son chef… Méthodes de déshumanisation De la fin de la guerre civile en 1949, quand Mao fixe un quota de contre-révolutionnaires à atteindre (5 millions de personnes), à sa mort en 1976, ce premier épisode retrace les vagues successives de répression qui ont contribué à la mise en place du goulag chinois, dévoilant l’ampleur de ce redoutable système concentrationnaire. Entrelaçant archives, dont celles de la propagande, et dessins représentant la réalité intérieure des camps, ce documentaire s’appuie sur les récits poignants d’anciens prisonniers, aujourd’hui exilés, et d’enfants de victimes – dont le plasticien Ai Weiwei, qui évoque la déportation de son père, le grand poète Ai Qing. Ces femmes et ces hommes racontent les humiliations, les violences subies et les méthodes de déshumanisation. Une immersion glaçante au cœur de la machine totalitaire chinoise
a attribué 8/10 au film
et l'a ajouté à sa liste
2021 • Documentaire TV de Tania Rakhmanova
Synopsis : En images d’archives et en dessins, une plongée, nourrie de glaçants témoignages de victimes, au coeur de l’effroyable système concentrationnaire chinois, pivot du pouvoir communiste depuis quatre-vingts ans. Instauré par Mao Zedong à la fin des années 1940, c’est un immense enfer invisible, filmé une seule fois clandestinement en 1991 par un ancien prisonnier. En quatre-vingts ans, 50 millions de "contre-révolutionnaires", ennemis de classe et autres "droitiers" – intellectuels, ouvriers, paysans, gardes rouges, étudiants… – sont passés par les camps du laogai ("réforme par le travail"), le système concentrationnaire chinois, et 20 millions y ont péri, exécutés ou morts d’épuisement, de faim ou de désespoir. Instrument de domination érigé en arme de répression massive par Mao, le laogai, constitué de centaines de camps répartis sur tout le territoire, a vocation à écraser toute velléité de contestation, en fournissant, par le travail forcé, une main-d’œuvre gratuite à l’économie du pays. De la première "campagne de rectification" au Grand Bond en avant, les purges se succèdent, avant de culminer avec la révolution culturelle, quand les unités de travail urbaines se transforment en lieu de détention, et les campagnes, en lieu d'exil. Tandis que la menace de déportation pervertit les liens les plus intimes, les familles des détenus sont mises au ban de la société. Une terreur qui survit à son chef… Méthodes de déshumanisation De la fin de la guerre civile en 1949, quand Mao fixe un quota de contre-révolutionnaires à atteindre (5 millions de personnes), à sa mort en 1976, ce premier épisode retrace les vagues successives de répression qui ont contribué à la mise en place du goulag chinois, dévoilant l’ampleur de ce redoutable système concentrationnaire. Entrelaçant archives, dont celles de la propagande, et dessins représentant la réalité intérieure des camps, ce documentaire s’appuie sur les récits poignants d’anciens prisonniers, aujourd’hui exilés, et d’enfants de victimes – dont le plasticien Ai Weiwei, qui évoque la déportation de son père, le grand poète Ai Qing. Ces femmes et ces hommes racontent les humiliations, les violences subies et les méthodes de déshumanisation. Une immersion glaçante au cœur de la machine totalitaire chinoise
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Synopsis : En images d’archives et en dessins, une plongée, nourrie de glaçants témoignages de victimes, au coeur de l’effroyable système concentrationnaire chinois, pivot du pouvoir communiste depuis quatre-vingts ans. Instauré par Mao Zedong à la fin des années 1940, c’est un immense enfer invisible, filmé une seule fois clandestinement en 1991 par un ancien prisonnier. En quatre-vingts ans, 50 millions de "contre-révolutionnaires", ennemis de classe et autres "droitiers" – intellectuels, ouvriers, paysans, gardes rouges, étudiants… – sont passés par les camps du laogai ("réforme par le travail"), le système concentrationnaire chinois, et 20 millions y ont péri, exécutés ou morts d’épuisement, de faim ou de désespoir. Instrument de domination érigé en arme de répression massive par Mao, le laogai, constitué de centaines de camps répartis sur tout le territoire, a vocation à écraser toute velléité de contestation, en fournissant, par le travail forcé, une main-d’œuvre gratuite à l’économie du pays. De la première "campagne de rectification" au Grand Bond en avant, les purges se succèdent, avant de culminer avec la révolution culturelle, quand les unités de travail urbaines se transforment en lieu de détention, et les campagnes, en lieu d'exil. Tandis que la menace de déportation pervertit les liens les plus intimes, les familles des détenus sont mises au ban de la société. Une terreur qui survit à son chef… Méthodes de déshumanisation De la fin de la guerre civile en 1949, quand Mao fixe un quota de contre-révolutionnaires à atteindre (5 millions de personnes), à sa mort en 1976, ce premier épisode retrace les vagues successives de répression qui ont contribué à la mise en place du goulag chinois, dévoilant l’ampleur de ce redoutable système concentrationnaire. Entrelaçant archives, dont celles de la propagande, et dessins représentant la réalité intérieure des camps, ce documentaire s’appuie sur les récits poignants d’anciens prisonniers, aujourd’hui exilés, et d’enfants de victimes – dont le plasticien Ai Weiwei, qui évoque la déportation de son père, le grand poète Ai Qing. Ces femmes et ces hommes racontent les humiliations, les violences subies et les méthodes de déshumanisation. Une immersion glaçante au cœur de la machine totalitaire chinoise
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Synopsis : En images d’archives et en dessins, une plongée, nourrie de glaçants témoignages de victimes, au coeur de l’effroyable système concentrationnaire chinois, pivot du pouvoir communiste depuis quatre-vingts ans. Instauré par Mao Zedong à la fin des années 1940, c’est un immense enfer invisible, filmé une seule fois clandestinement en 1991 par un ancien prisonnier. En quatre-vingts ans, 50 millions de "contre-révolutionnaires", ennemis de classe et autres "droitiers" – intellectuels, ouvriers, paysans, gardes rouges, étudiants… – sont passés par les camps du laogai ("réforme par le travail"), le système concentrationnaire chinois, et 20 millions y ont péri, exécutés ou morts d’épuisement, de faim ou de désespoir. Instrument de domination érigé en arme de répression massive par Mao, le laogai, constitué de centaines de camps répartis sur tout le territoire, a vocation à écraser toute velléité de contestation, en fournissant, par le travail forcé, une main-d’œuvre gratuite à l’économie du pays. De la première "campagne de rectification" au Grand Bond en avant, les purges se succèdent, avant de culminer avec la révolution culturelle, quand les unités de travail urbaines se transforment en lieu de détention, et les campagnes, en lieu d'exil. Tandis que la menace de déportation pervertit les liens les plus intimes, les familles des détenus sont mises au ban de la société. Une terreur qui survit à son chef… Méthodes de déshumanisation De la fin de la guerre civile en 1949, quand Mao fixe un quota de contre-révolutionnaires à atteindre (5 millions de personnes), à sa mort en 1976, ce premier épisode retrace les vagues successives de répression qui ont contribué à la mise en place du goulag chinois, dévoilant l’ampleur de ce redoutable système concentrationnaire. Entrelaçant archives, dont celles de la propagande, et dessins représentant la réalité intérieure des camps, ce documentaire s’appuie sur les récits poignants d’anciens prisonniers, aujourd’hui exilés, et d’enfants de victimes – dont le plasticien Ai Weiwei, qui évoque la déportation de son père, le grand poète Ai Qing. Ces femmes et ces hommes racontent les humiliations, les violences subies et les méthodes de déshumanisation. Une immersion glaçante au cœur de la machine totalitaire chinoise
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Documentaire sur les ABUS et la VIOLENCE
,
Documentaires politiques et géopolitiques
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Synopsis : En images d’archives et en dessins, une plongée, nourrie de glaçants témoignages de victimes, au coeur de l’effroyable système concentrationnaire chinois, pivot du pouvoir communiste depuis quatre-vingts ans. Instauré par Mao Zedong à la fin des années 1940, c’est un immense enfer invisible, filmé une seule fois clandestinement en 1991 par un ancien prisonnier. En quatre-vingts ans, 50 millions de "contre-révolutionnaires", ennemis de classe et autres "droitiers" – intellectuels, ouvriers, paysans, gardes rouges, étudiants… – sont passés par les camps du laogai ("réforme par le travail"), le système concentrationnaire chinois, et 20 millions y ont péri, exécutés ou morts d’épuisement, de faim ou de désespoir. Instrument de domination érigé en arme de répression massive par Mao, le laogai, constitué de centaines de camps répartis sur tout le territoire, a vocation à écraser toute velléité de contestation, en fournissant, par le travail forcé, une main-d’œuvre gratuite à l’économie du pays. De la première "campagne de rectification" au Grand Bond en avant, les purges se succèdent, avant de culminer avec la révolution culturelle, quand les unités de travail urbaines se transforment en lieu de détention, et les campagnes, en lieu d'exil. Tandis que la menace de déportation pervertit les liens les plus intimes, les familles des détenus sont mises au ban de la société. Une terreur qui survit à son chef… Méthodes de déshumanisation De la fin de la guerre civile en 1949, quand Mao fixe un quota de contre-révolutionnaires à atteindre (5 millions de personnes), à sa mort en 1976, ce premier épisode retrace les vagues successives de répression qui ont contribué à la mise en place du goulag chinois, dévoilant l’ampleur de ce redoutable système concentrationnaire. Entrelaçant archives, dont celles de la propagande, et dessins représentant la réalité intérieure des camps, ce documentaire s’appuie sur les récits poignants d’anciens prisonniers, aujourd’hui exilés, et d’enfants de victimes – dont le plasticien Ai Weiwei, qui évoque la déportation de son père, le grand poète Ai Qing. Ces femmes et ces hommes racontent les humiliations, les violences subies et les méthodes de déshumanisation. Une immersion glaçante au cœur de la machine totalitaire chinoise
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Synopsis : En images d’archives et en dessins, une plongée, nourrie de glaçants témoignages de victimes, au coeur de l’effroyable système concentrationnaire chinois, pivot du pouvoir communiste depuis quatre-vingts ans. Instauré par Mao Zedong à la fin des années 1940, c’est un immense enfer invisible, filmé une seule fois clandestinement en 1991 par un ancien prisonnier. En quatre-vingts ans, 50 millions de "contre-révolutionnaires", ennemis de classe et autres "droitiers" – intellectuels, ouvriers, paysans, gardes rouges, étudiants… – sont passés par les camps du laogai ("réforme par le travail"), le système concentrationnaire chinois, et 20 millions y ont péri, exécutés ou morts d’épuisement, de faim ou de désespoir. Instrument de domination érigé en arme de répression massive par Mao, le laogai, constitué de centaines de camps répartis sur tout le territoire, a vocation à écraser toute velléité de contestation, en fournissant, par le travail forcé, une main-d’œuvre gratuite à l’économie du pays. De la première "campagne de rectification" au Grand Bond en avant, les purges se succèdent, avant de culminer avec la révolution culturelle, quand les unités de travail urbaines se transforment en lieu de détention, et les campagnes, en lieu d'exil. Tandis que la menace de déportation pervertit les liens les plus intimes, les familles des détenus sont mises au ban de la société. Une terreur qui survit à son chef… Méthodes de déshumanisation De la fin de la guerre civile en 1949, quand Mao fixe un quota de contre-révolutionnaires à atteindre (5 millions de personnes), à sa mort en 1976, ce premier épisode retrace les vagues successives de répression qui ont contribué à la mise en place du goulag chinois, dévoilant l’ampleur de ce redoutable système concentrationnaire. Entrelaçant archives, dont celles de la propagande, et dessins représentant la réalité intérieure des camps, ce documentaire s’appuie sur les récits poignants d’anciens prisonniers, aujourd’hui exilés, et d’enfants de victimes – dont le plasticien Ai Weiwei, qui évoque la déportation de son père, le grand poète Ai Qing. Ces femmes et ces hommes racontent les humiliations, les violences subies et les méthodes de déshumanisation. Une immersion glaçante au cœur de la machine totalitaire chinoise
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Synopsis : En images d’archives et en dessins, une plongée, nourrie de glaçants témoignages de victimes, au coeur de l’effroyable système concentrationnaire chinois, pivot du pouvoir communiste depuis quatre-vingts ans. Instauré par Mao Zedong à la fin des années 1940, c’est un immense enfer invisible, filmé une seule fois clandestinement en 1991 par un ancien prisonnier. En quatre-vingts ans, 50 millions de "contre-révolutionnaires", ennemis de classe et autres "droitiers" – intellectuels, ouvriers, paysans, gardes rouges, étudiants… – sont passés par les camps du laogai ("réforme par le travail"), le système concentrationnaire chinois, et 20 millions y ont péri, exécutés ou morts d’épuisement, de faim ou de désespoir. Instrument de domination érigé en arme de répression massive par Mao, le laogai, constitué de centaines de camps répartis sur tout le territoire, a vocation à écraser toute velléité de contestation, en fournissant, par le travail forcé, une main-d’œuvre gratuite à l’économie du pays. De la première "campagne de rectification" au Grand Bond en avant, les purges se succèdent, avant de culminer avec la révolution culturelle, quand les unités de travail urbaines se transforment en lieu de détention, et les campagnes, en lieu d'exil. Tandis que la menace de déportation pervertit les liens les plus intimes, les familles des détenus sont mises au ban de la société. Une terreur qui survit à son chef… Méthodes de déshumanisation De la fin de la guerre civile en 1949, quand Mao fixe un quota de contre-révolutionnaires à atteindre (5 millions de personnes), à sa mort en 1976, ce premier épisode retrace les vagues successives de répression qui ont contribué à la mise en place du goulag chinois, dévoilant l’ampleur de ce redoutable système concentrationnaire. Entrelaçant archives, dont celles de la propagande, et dessins représentant la réalité intérieure des camps, ce documentaire s’appuie sur les récits poignants d’anciens prisonniers, aujourd’hui exilés, et d’enfants de victimes – dont le plasticien Ai Weiwei, qui évoque la déportation de son père, le grand poète Ai Qing. Ces femmes et ces hommes racontent les humiliations, les violences subies et les méthodes de déshumanisation. Une immersion glaçante au cœur de la machine totalitaire chinoise
Le 15 janv. 2024
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Synopsis : En images d’archives et en dessins, une plongée, nourrie de glaçants témoignages de victimes, au coeur de l’effroyable système concentrationnaire chinois, pivot du pouvoir communiste depuis quatre-vingts ans. Instauré par Mao Zedong à la fin des années 1940, c’est un immense enfer invisible, filmé une seule fois clandestinement en 1991 par un ancien prisonnier. En quatre-vingts ans, 50 millions de "contre-révolutionnaires", ennemis de classe et autres "droitiers" – intellectuels, ouvriers, paysans, gardes rouges, étudiants… – sont passés par les camps du laogai ("réforme par le travail"), le système concentrationnaire chinois, et 20 millions y ont péri, exécutés ou morts d’épuisement, de faim ou de désespoir. Instrument de domination érigé en arme de répression massive par Mao, le laogai, constitué de centaines de camps répartis sur tout le territoire, a vocation à écraser toute velléité de contestation, en fournissant, par le travail forcé, une main-d’œuvre gratuite à l’économie du pays. De la première "campagne de rectification" au Grand Bond en avant, les purges se succèdent, avant de culminer avec la révolution culturelle, quand les unités de travail urbaines se transforment en lieu de détention, et les campagnes, en lieu d'exil. Tandis que la menace de déportation pervertit les liens les plus intimes, les familles des détenus sont mises au ban de la société. Une terreur qui survit à son chef… Méthodes de déshumanisation De la fin de la guerre civile en 1949, quand Mao fixe un quota de contre-révolutionnaires à atteindre (5 millions de personnes), à sa mort en 1976, ce premier épisode retrace les vagues successives de répression qui ont contribué à la mise en place du goulag chinois, dévoilant l’ampleur de ce redoutable système concentrationnaire. Entrelaçant archives, dont celles de la propagande, et dessins représentant la réalité intérieure des camps, ce documentaire s’appuie sur les récits poignants d’anciens prisonniers, aujourd’hui exilés, et d’enfants de victimes – dont le plasticien Ai Weiwei, qui évoque la déportation de son père, le grand poète Ai Qing. Ces femmes et ces hommes racontent les humiliations, les violences subies et les méthodes de déshumanisation. Une immersion glaçante au cœur de la machine totalitaire chinoise
2021 • Documentaire TV de Tania Rakhmanova
Synopsis : En images d’archives et en dessins, une plongée, nourrie de glaçants témoignages de victimes, au coeur de l’effroyable système concentrationnaire chinois, pivot du pouvoir communiste depuis quatre-vingts ans. Instauré par Mao Zedong à la fin des années 1940, c’est un immense enfer invisible, filmé une seule fois clandestinement en 1991 par un ancien prisonnier. En quatre-vingts ans, 50 millions de "contre-révolutionnaires", ennemis de classe et autres "droitiers" – intellectuels, ouvriers, paysans, gardes rouges, étudiants… – sont passés par les camps du laogai ("réforme par le travail"), le système concentrationnaire chinois, et 20 millions y ont péri, exécutés ou morts d’épuisement, de faim ou de désespoir. Instrument de domination érigé en arme de répression massive par Mao, le laogai, constitué de centaines de camps répartis sur tout le territoire, a vocation à écraser toute velléité de contestation, en fournissant, par le travail forcé, une main-d’œuvre gratuite à l’économie du pays. De la première "campagne de rectification" au Grand Bond en avant, les purges se succèdent, avant de culminer avec la révolution culturelle, quand les unités de travail urbaines se transforment en lieu de détention, et les campagnes, en lieu d'exil. Tandis que la menace de déportation pervertit les liens les plus intimes, les familles des détenus sont mises au ban de la société. Une terreur qui survit à son chef… Méthodes de déshumanisation De la fin de la guerre civile en 1949, quand Mao fixe un quota de contre-révolutionnaires à atteindre (5 millions de personnes), à sa mort en 1976, ce premier épisode retrace les vagues successives de répression qui ont contribué à la mise en place du goulag chinois, dévoilant l’ampleur de ce redoutable système concentrationnaire. Entrelaçant archives, dont celles de la propagande, et dessins représentant la réalité intérieure des camps, ce documentaire s’appuie sur les récits poignants d’anciens prisonniers, aujourd’hui exilés, et d’enfants de victimes – dont le plasticien Ai Weiwei, qui évoque la déportation de son père, le grand poète Ai Qing. Ces femmes et ces hommes racontent les humiliations, les violences subies et les méthodes de déshumanisation. Une immersion glaçante au cœur de la machine totalitaire chinoise