Pour Toni Servillo
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Séance de rattrapage pour ce film sorti en début d’année. Voilà un thriller politique extrêmement bien ficelé. Un scénario minutieux (où se côtoient, entre autres, pouvoir, politique, secrets, philosophie et religion), savant mélange d’Agatha Christie, d’Hitchcock et de House of cards, pour une mise en scène froide, mais solide et élégante. Le rythme est lent, l’ambiance lourde, c’est intriguant d’entrée et mystérieux jusqu’au bout. L’étincelante distribution internationale joue aussi pour beaucoup dans la réussite de ces Confessions. Toni Servillo est comme toujours impérial. Il est bien entouré par les français Daniel Auteuil, Stéphane Freiss, Marie-Josée Croze et Lambert Wilson, son compatriote Pierfrancesco Favino, la danoise Connie Nielsen, l’allemand Moritz Bleibtreu ou encore le belge Johan Heldenbergh. Un film étrange, plastiquement très beau, qui fait réfléchir sur le monde d’aujourd’hui et son avenir plutôt morose. Une belle surprise.
Créée
le 30 oct. 2017
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