Je ne comprends pas les notes de 1/10 pour ce film !
L'histoire n'est pas si terrible. Moi aussi, je risquerais ma vie pour un doctorat en études des mollusques, et si j'étais superstitieux, je croirais à l'existence d'une malédiction familiale.
Mr. Caine a ici un rôle déterminant en sauvant la veuve dépressive. D'ailleurs, il joue très bien son rôle, car elle retrouve rapidement goût à la vie, malgré le décès de son fils, de son mari, ainsi que le traumatisme de deux films précédents.
Si j'étais à la place de la femme du réalisateur, je tenterais moi aussi d'obtenir un premier rôle dans une licence à bout de souffle.
Les Bahamas sont magnifiques. Ça donne envie d'y vivre. Le bleu azur contraste fortement avec le rouge du sang, le rendant ainsi plus marquant que dans les épisodes précédents.
Quant à ce requin, superbe animatronique avec sa fermeture éclair bien visible (merci le bleu azur), il me donne encore des frissons. J'ai peur du vide qui émane de ses petits yeux noirs, ainsi que de sa chorégraphie dansante.
Enfin, pour conclure, il y a cette mort astucieuse du prédateur... le flashback ! Il faudra que je revoie la scène originale sur Youtube en mode détective. Voilà, c'est ça la magie du cinéma, le transmédia !
Non, ce film est complètement nul, et à l'exception de la petite, rien ne sauve la mise. Plaisir coupable : 10/10 sur l'échelle de Nanarland.
PS : Pensées pour cette petite partie trop tôt.