Decouvert sur Paramount Channel, les derniers aventuriers est un drôle de films. La première scène donne le ton. Un jeune garçon joue avec un chien dans la pampa. Le long métrage se déroule dans un pays d'amérique du sud imaginaire. La scène est filmée au ralenti, une musique Easy Lisning accompagne l'image. Au loin, des militaires surgissent à cheval. Le toutou est abattu, le ralenti cesse. Image brutale. Les militaires chargent. L'enfant court prévenir du danger les femmes de l'hacienda . Dans le lot, il y a la mère du petit garçon. Tout le monde se réfugient dans la caves. Les soldats vont les trouver en un rien de temps. Ils violent les femmes et les massacrent devant l'enfant. Il arrive à s'échapper. Il court dans la montagne, retrouve son père. Ils se précipitent à l'hacienda. Ils restent quelques soldats. Sinon, toutes les femmes sont mortes. Sans un procès, les soldats sont fusillés. C'est le petit garçon qui s'y colle.
C'est un drôle de films. On passe de la violence la plus terrible au roman photo. Ce long métrage raconte qu'un pays qui a connu la dictature ne connaîtra que la dictature. Tourné pour la plupart du métrage en Italie. On pense parfois aux western zapata. Le casting est international. L'acteur principal est mauvais comme un cochon. Il a zéro charisme, difficile à s'intéresser à son personnage qui commence avec un petit garçon traumatisé et qui devient un gigolo. Les derniers aventuriers est un mélodrame plein d'argent. Joseph Levine a produit le lauréat et un pont trop loin. Mais l'histoire est tellement too much que forcément on pense au cinéma bis. C'est une vraie découverte imparfaite mais intéressante.