L'actualité sur Les hommes, ça ne pleure pas
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Muškarci ne plaču
2017 • Film de Alen Drljević
Synopsis : Un simple exercice en groupe tourne immédiatement à la bagarre. Des vétérans de Bosnie, de Serbie et de Croatie se trouvent réunis dans un hôtel de montagne, isolé du reste du monde, et ils sont tous pleins de rage. Après cet épisode, le Croate Andrija quitte la pièce, fulminant, le refus de son compatriote Valentin d’adhérer au discours nationaliste dominant dans leur pays est pour lui une aberration – dans leur pays ou l’un des deux autres, en fait, car seule la nationalité change : le mode de pensée, développé par endoctrinement, est identique. Le jour suivant, le Slovène qui anime l’atelier, Ivan, engage les participants et regarder en face leurs traumatismes. Valentin prend le premier la parole pour raconter quelle terrible culpabilité le hante, avant de la mettre en scène comme un psychodrame avec un des autres participants à l’atelier. De leur côté, deux Bosniaques du groupe, Merim, d’âge moyen, et Jasmin, 20 ans et condamné à la chaise roulante, sont aussi en désaccord. Non seulement Merim est un musulman très pratiquant, mais il est superstitieux, alors que Jasmin est totalement nihiliste, ce qu’on peut comprendre vu sa situation. À un certain point de la journée, Miki va acheter au réceptionniste de l’alcool fait maison. À la faveur de l’ébriété, tout le monde entonne d’abord un tube de variété yougoslave alors populaire partout dans le pays. Suit un jeu de guerre, et le groupe va finir par détruire le restaurant de l’hôtel. Qu’ils soient victimes, criminels ou héros de guerre, les hommes des Balkans sont toujours les mêmes.
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2017 • Film de Alen Drljević
Synopsis : Un simple exercice en groupe tourne immédiatement à la bagarre. Des vétérans de Bosnie, de Serbie et de Croatie se trouvent réunis dans un hôtel de montagne, isolé du reste du monde, et ils sont tous pleins de rage. Après cet épisode, le Croate Andrija quitte la pièce, fulminant, le refus de son compatriote Valentin d’adhérer au discours nationaliste dominant dans leur pays est pour lui une aberration – dans leur pays ou l’un des deux autres, en fait, car seule la nationalité change : le mode de pensée, développé par endoctrinement, est identique. Le jour suivant, le Slovène qui anime l’atelier, Ivan, engage les participants et regarder en face leurs traumatismes. Valentin prend le premier la parole pour raconter quelle terrible culpabilité le hante, avant de la mettre en scène comme un psychodrame avec un des autres participants à l’atelier. De leur côté, deux Bosniaques du groupe, Merim, d’âge moyen, et Jasmin, 20 ans et condamné à la chaise roulante, sont aussi en désaccord. Non seulement Merim est un musulman très pratiquant, mais il est superstitieux, alors que Jasmin est totalement nihiliste, ce qu’on peut comprendre vu sa situation. À un certain point de la journée, Miki va acheter au réceptionniste de l’alcool fait maison. À la faveur de l’ébriété, tout le monde entonne d’abord un tube de variété yougoslave alors populaire partout dans le pays. Suit un jeu de guerre, et le groupe va finir par détruire le restaurant de l’hôtel. Qu’ils soient victimes, criminels ou héros de guerre, les hommes des Balkans sont toujours les mêmes.
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2017 • Film de Alen Drljević
Synopsis : Un simple exercice en groupe tourne immédiatement à la bagarre. Des vétérans de Bosnie, de Serbie et de Croatie se trouvent réunis dans un hôtel de montagne, isolé du reste du monde, et ils sont tous pleins de rage. Après cet épisode, le Croate Andrija quitte la pièce, fulminant, le refus de son compatriote Valentin d’adhérer au discours nationaliste dominant dans leur pays est pour lui une aberration – dans leur pays ou l’un des deux autres, en fait, car seule la nationalité change : le mode de pensée, développé par endoctrinement, est identique. Le jour suivant, le Slovène qui anime l’atelier, Ivan, engage les participants et regarder en face leurs traumatismes. Valentin prend le premier la parole pour raconter quelle terrible culpabilité le hante, avant de la mettre en scène comme un psychodrame avec un des autres participants à l’atelier. De leur côté, deux Bosniaques du groupe, Merim, d’âge moyen, et Jasmin, 20 ans et condamné à la chaise roulante, sont aussi en désaccord. Non seulement Merim est un musulman très pratiquant, mais il est superstitieux, alors que Jasmin est totalement nihiliste, ce qu’on peut comprendre vu sa situation. À un certain point de la journée, Miki va acheter au réceptionniste de l’alcool fait maison. À la faveur de l’ébriété, tout le monde entonne d’abord un tube de variété yougoslave alors populaire partout dans le pays. Suit un jeu de guerre, et le groupe va finir par détruire le restaurant de l’hôtel. Qu’ils soient victimes, criminels ou héros de guerre, les hommes des Balkans sont toujours les mêmes.
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2017 • Film de Alen Drljević
Synopsis : Un simple exercice en groupe tourne immédiatement à la bagarre. Des vétérans de Bosnie, de Serbie et de Croatie se trouvent réunis dans un hôtel de montagne, isolé du reste du monde, et ils sont tous pleins de rage. Après cet épisode, le Croate Andrija quitte la pièce, fulminant, le refus de son compatriote Valentin d’adhérer au discours nationaliste dominant dans leur pays est pour lui une aberration – dans leur pays ou l’un des deux autres, en fait, car seule la nationalité change : le mode de pensée, développé par endoctrinement, est identique. Le jour suivant, le Slovène qui anime l’atelier, Ivan, engage les participants et regarder en face leurs traumatismes. Valentin prend le premier la parole pour raconter quelle terrible culpabilité le hante, avant de la mettre en scène comme un psychodrame avec un des autres participants à l’atelier. De leur côté, deux Bosniaques du groupe, Merim, d’âge moyen, et Jasmin, 20 ans et condamné à la chaise roulante, sont aussi en désaccord. Non seulement Merim est un musulman très pratiquant, mais il est superstitieux, alors que Jasmin est totalement nihiliste, ce qu’on peut comprendre vu sa situation. À un certain point de la journée, Miki va acheter au réceptionniste de l’alcool fait maison. À la faveur de l’ébriété, tout le monde entonne d’abord un tube de variété yougoslave alors populaire partout dans le pays. Suit un jeu de guerre, et le groupe va finir par détruire le restaurant de l’hôtel. Qu’ils soient victimes, criminels ou héros de guerre, les hommes des Balkans sont toujours les mêmes.
Sur Arte encore une quinzaine de jours. C'est plus sur le syndrome post-traumatique, mais il y a une belle brochette de propositions : se battre, se bourrer la gueule, foutre le feu, nager à la piscine, randonner sous la pluie, fumer, se faire de nouveaux amis... bref, un séjour en ex-Yougoslavie.
Le 19 janv. 2022
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Le 19 janv. 2022
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2017 • Film de Alen Drljević
Synopsis : Un simple exercice en groupe tourne immédiatement à la bagarre. Des vétérans de Bosnie, de Serbie et de Croatie se trouvent réunis dans un hôtel de montagne, isolé du reste du monde, et ils sont tous pleins de rage. Après cet épisode, le Croate Andrija quitte la pièce, fulminant, le refus de son compatriote Valentin d’adhérer au discours nationaliste dominant dans leur pays est pour lui une aberration – dans leur pays ou l’un des deux autres, en fait, car seule la nationalité change : le mode de pensée, développé par endoctrinement, est identique. Le jour suivant, le Slovène qui anime l’atelier, Ivan, engage les participants et regarder en face leurs traumatismes. Valentin prend le premier la parole pour raconter quelle terrible culpabilité le hante, avant de la mettre en scène comme un psychodrame avec un des autres participants à l’atelier. De leur côté, deux Bosniaques du groupe, Merim, d’âge moyen, et Jasmin, 20 ans et condamné à la chaise roulante, sont aussi en désaccord. Non seulement Merim est un musulman très pratiquant, mais il est superstitieux, alors que Jasmin est totalement nihiliste, ce qu’on peut comprendre vu sa situation. À un certain point de la journée, Miki va acheter au réceptionniste de l’alcool fait maison. À la faveur de l’ébriété, tout le monde entonne d’abord un tube de variété yougoslave alors populaire partout dans le pays. Suit un jeu de guerre, et le groupe va finir par détruire le restaurant de l’hôtel. Qu’ils soient victimes, criminels ou héros de guerre, les hommes des Balkans sont toujours les mêmes.
__pas encore fini___belle ouverture/générique = un plan simple sur un arbre mort avec un paysage vosgien/ardéchois etc. qui lentement mais surement devient fog anglais...mais c'est ailleurs, et partout (jusqu'au 09/02/22 sur https://www.arte.tv/fr/videos/062207-000-A/les-hommes-ca-ne-pleure-pas/ ) __ me rappelle en partie of men of war https://www.senscritique.com/film/Des_hommes_et_de_la_guerre/11735712 mais où/dont je connaissais bien mieux le background historique, étrangement, alors que j...
Le 17 janv. 2022
@PierreAmo C'est effectivement le même sujet, mais si la base est très différente : le stress post-traumatique chez ceux qui ont vécu une guerre (et parfois participé aux combats).Le réalisateur a d'ailleurs fait un film sur les femmes bosniennes ivctimes du stress post-traumatique https://www.senscritique.com/film/De_guerre_lasses/443715 Je vois qu'il a aussi fait Vivre après, paroles de femmes, mais je ne connais pas le sujet (pas de résumé)
Le 17 janv. 2022
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2017 • Film de Alen Drljević
Synopsis : Un simple exercice en groupe tourne immédiatement à la bagarre. Des vétérans de Bosnie, de Serbie et de Croatie se trouvent réunis dans un hôtel de montagne, isolé du reste du monde, et ils sont tous pleins de rage. Après cet épisode, le Croate Andrija quitte la pièce, fulminant, le refus de son compatriote Valentin d’adhérer au discours nationaliste dominant dans leur pays est pour lui une aberration – dans leur pays ou l’un des deux autres, en fait, car seule la nationalité change : le mode de pensée, développé par endoctrinement, est identique. Le jour suivant, le Slovène qui anime l’atelier, Ivan, engage les participants et regarder en face leurs traumatismes. Valentin prend le premier la parole pour raconter quelle terrible culpabilité le hante, avant de la mettre en scène comme un psychodrame avec un des autres participants à l’atelier. De leur côté, deux Bosniaques du groupe, Merim, d’âge moyen, et Jasmin, 20 ans et condamné à la chaise roulante, sont aussi en désaccord. Non seulement Merim est un musulman très pratiquant, mais il est superstitieux, alors que Jasmin est totalement nihiliste, ce qu’on peut comprendre vu sa situation. À un certain point de la journée, Miki va acheter au réceptionniste de l’alcool fait maison. À la faveur de l’ébriété, tout le monde entonne d’abord un tube de variété yougoslave alors populaire partout dans le pays. Suit un jeu de guerre, et le groupe va finir par détruire le restaurant de l’hôtel. Qu’ils soient victimes, criminels ou héros de guerre, les hommes des Balkans sont toujours les mêmes.
jusqu'au 09/02/22 sur https://www.arte.tv/fr/videos/062207-000-A/les-hommes-ca-ne-pleure-pas/
Le 17 janv. 2022
Oh merci merci merci !!! Et voilà, je ne sais définitivement pas m'y retrouver dans les programmes d'Arte ! (en plus le titre est traduit, je vais le faire savoir ici) Merci !!!
Le 17 janv. 2022