L'homme moderne
Les mouvements du bassin est un film aussi bancal, mal filmé, carrément moche, voire abscons à de nombreux moments, qu'il est "aimable". C'est-à-dire que HPG filme son histoire carrément glauque à...
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le 19 juin 2017
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L'homme est un singe, le cinéma ne se fait pas en passant.
HPG tente et retente. Il y avait pourtant un souffle presque poétique dans le titre.
Malheureusement la poésie s'arrête à la premiere scène. On comprend très rapidement que c'est un film sans volonté de bien faire. La caméra semble tenu au bout d'une canne à pêche, les plans font semblant d'être cadrés, les dialogues sonnent faux.
L'histoire de cet homme seul, brisant sa detresse dans la violence collective d'une sorte de fight-club. Dans une usine froide, un mari prostitue sa femme trans-sexuelle, mange des burgers sur le capot de sa voiture en attendant que les clients finissent. Un vigile voyeur qui se laisse tenter par un petit coup, seul moyen qu'il trouve pour entrer en interaction avec le monde des autres... Et une femme triste qui pense qu'avoir un enfant donnera du sens à sa vie.
Rachida Brakni, parfaite.
C'est brouillon, parfois énervant. Abscons.
Des idées ne font pas un film, l'envie n'offre pas le savoir-faire, les singes ne sont pas hommes.
Créée
le 7 janv. 2024
Critique lue 12 fois
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