Merci.
Au nom de l'art, merci,
Généreux, croustillant, aigre-doux par moment, mais toujours extravagant à souhait. Bien monté comme les œufs de ma tendre mère.
Un état des lieux de la société maghrébine post-printemps arabe, victime de la mondialisation effrénée et d'une indépendance bâclée.
Un Jafar haut en couleur, avatar frictionnel de l'impérialisme européen apporte au métrage sa dimension toute politique.
J'y vois le manifeste avant-gardiste du montage couscous de Kamel Wall-E.
A mes détracteurs des "Cahiers du Cinéma",
J.E. McCritinski, maître de conférence à Paris VIII.