Gaité le facteur...
Révélé à Cannes en 1979 avec « Sibériade », Andrei Kontchalovski se démarque pendant toute sa carrière, comme un cinéaste scrupuleux et loyal. De son parcours atypique, il a fui l’URSS avec son frère...
le 29 juil. 2015
5 j'aime
Un excellent moyen de découvrir les régions reculées du nord de la Russie. Les paysages sont superbes, la vie est rude, la vodka obsédante. On se laisse émouvoir par la vie de ce facteur ordinaire sujet à un désespoir somme toute compréhensible ; la lente mécanique de désertification des régions rurales empiète sur sa vie d’homme, son métier et le sens de celui-ci.
Tous les personnages de ce film de Andreï Konchalovsky ont été joués par des « locaux ». L’aspect rude et réaliste n’en est que renforcé. Ici, aucun acteur grimé ne surjoue la misère, les clichés ne sont pas de mise, c’est pourquoi ce film me donne l’impression d’avoir voyagé et d’en ressortir enrichie.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 15 nov. 2016
Critique lue 414 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Les nuits blanches du facteur
Révélé à Cannes en 1979 avec « Sibériade », Andrei Kontchalovski se démarque pendant toute sa carrière, comme un cinéaste scrupuleux et loyal. De son parcours atypique, il a fui l’URSS avec son frère...
le 29 juil. 2015
5 j'aime
Un excellent moyen de découvrir les régions reculées du nord de la Russie. Les paysages sont superbes, la vie est rude, la vodka obsédante. On se laisse émouvoir par la vie de ce facteur ordinaire...
Par
le 15 nov. 2016
2 j'aime
Ce titre dostoïvskien m’inspirait bien plus que le nom de son auteur, cinéaste impossible à identifier, lancé par Tarkovski avant de qu’il ne touche et dérive dans le cinéma hollywoodien, puis qu’il...
Par
le 2 sept. 2019
1 j'aime