J'ai tendance à craindre les vampires, surtout en carton pate mais je sais pas, j'ai conscience des innombrables défauts de ce nanar, je peu pas m'empêcher d'adorer.
Les Sept Vampires d'or a le mérite d'être la première collaboration entre la Shaw Brothers et la Hammer Films, le contraste entre les deux firmes est excessivement palpable, elles plongent à pied joints dans le grotesque, l'histoire est bancal pourtant c'est palpitant, Peter Cushing évolue pleins de classe naturel aux milieux d'artistes martiaux adeptent de la surenchère et customisés pour l'occasion.
Si Si, je vous assure, c'est une expérience assez rare, elle vaut la peine d'être vécu.