Deuxième film de Marc Webb vu au 43ᵉ festival de Deauville. Cette fois ci en avant première.
Et bah encore une fois, il aurait pu l’enterrer et nous montrer autre chose genre « mon petit poney le film » cela aurait été plus instructif que ce truc immonde qu’il ose appeler film.
C’est niais, cela utilise des ficelles aussi grosses que des tuyaux d’égouts sortant du bitume.
Les bons sentiments américains censés nous toucher, on en a mais alors rien à faire mais total !
Moi que le héros du film s ‘ennuie dans sa vie au point, de coucher avec sa belle mère mais alors tant mieux pour lui ! S’il est content, et qu’il peut faire caca droit maintenant. Mais qu’il ne vient pas chouiner devant l’écran.
C’est du vu et revu puissance infini, ça joue mais genre mal même au-delà du mal suprême possible ! C’est une purge, je ne vois absolument pas l’intérêt, d’un truc pareil. Après, il y a un « twist » : loooooool !
C’est du culcul, mais alors à un point de te le faire tomber le cul !
Tout ce que j’espère, c ‘est que cela ne sortira jamais sur nos écrans ! Que cela nous préserve nos yeux et esprit ! Pour le bien du vrai cinéma ! ( regardez la longueur du résumé du film : INDICE qualitatif)