La nuit, je mens.
For relaxing times, make it Suntory time. Ville à la fois moderne et historique, lieu d’un pèlerinage sentimental impromptu. Lui essaye de s'éloigner d'un couple en perdition et, elle, suit son...
Par
le 16 févr. 2014
161 j'aime
11
C'est grave nul. Complètement pété... Que personne ne regarde cette bouse.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Mon année 2020 en cinéma - Année n°1 (comme il faut bien commencer quelque part)
Créée
le 26 févr. 2021
Critique lue 272 fois
3 j'aime
13 commentaires
D'autres avis sur Lost in Translation
For relaxing times, make it Suntory time. Ville à la fois moderne et historique, lieu d’un pèlerinage sentimental impromptu. Lui essaye de s'éloigner d'un couple en perdition et, elle, suit son...
Par
le 16 févr. 2014
161 j'aime
11
La ville. Ce sont ces façades lumineuses qui préfigurent Blade Runner, vitres à perte de vue derrière lesquelles se trouvent encore des êtres humains, contemplateurs d’une étendue verticale qui...
le 6 sept. 2015
159 j'aime
31
Sur une trame somme toute très simpliste, l'errance de deux personnages dans un Japon culturellement opaque, Sofia Coppola construit une relation émouvante, ouverte et tactile, éffleurements discrets...
Par
le 21 déc. 2010
133 j'aime
6
Du même critique
C'est grave nul. Complètement pété... Que personne ne regarde cette bouse.
Par
le 26 févr. 2021
3 j'aime
13
téléfilm. tf1. - quoi d'autre? - Bah non hein, c'est tout je crois qu'on a tout dit.
Par
le 11 janv. 2022
1 j'aime
2