La nuit, je mens.
For relaxing times, make it Suntory time. Ville à la fois moderne et historique, lieu d’un pèlerinage sentimental impromptu. Lui essaye de s'éloigner d'un couple en perdition et, elle, suit son...
Par
le 16 févr. 2014
162 j'aime
11
Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Le cinéma et la contemplation. et Les meilleures scènes d'ouverture
Créée
le 5 nov. 2010
Critique lue 304 fois
2 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur Lost in Translation
For relaxing times, make it Suntory time. Ville à la fois moderne et historique, lieu d’un pèlerinage sentimental impromptu. Lui essaye de s'éloigner d'un couple en perdition et, elle, suit son...
Par
le 16 févr. 2014
162 j'aime
11
La ville. Ce sont ces façades lumineuses qui préfigurent Blade Runner, vitres à perte de vue derrière lesquelles se trouvent encore des êtres humains, contemplateurs d’une étendue verticale qui...
le 6 sept. 2015
159 j'aime
31
Sur une trame somme toute très simpliste, l'errance de deux personnages dans un Japon culturellement opaque, Sofia Coppola construit une relation émouvante, ouverte et tactile, éffleurements discrets...
Par
le 21 déc. 2010
133 j'aime
6
Du même critique
La série a commencé doucement avec peu de moyens. L'humour qu'on connaît aux acteurs était là, et bien que les moyens étaient dérisoires, cela donnait une identité certaine à la série. Les quelques...
Par
le 5 juil. 2011
18 j'aime
1
Par
le 11 oct. 2011
18 j'aime
1
J'ai préféré lire le livre avant de voir le film, et quelque part je suppose que j'ai bien fait. Philip K. Dick nous plonge dans un futur post-apocalyptique où la plupart de la population a déjà fui...
Par
le 15 août 2010
16 j'aime
2