Placement de produit démentiel ou critique de l'industrie pharmaceutique ?
Ca commence comme une pub monstrueuse pour Pfizer, ça continue comme une comédie romantique et ça finit comme une critique du tout médicament et même si ça s'arrête avant, les paroles du mari de la Stage 4 reste en tête.
La maladie de parkinson est particulièrement bien abordée, bien que ne rentrant pas dans les détails et même si ce n'est pas mentionné en continu, la maladie s'invite comme un troisième personnage qui essaye de dévier d'abord Anna Hathaway (très touchante) et puis Jake (pas toujours ultra juste).
Plus intelligent que la première heure ne le laisse paraître, intéressant mais pas assez poussé sur la deuxième heure, on reste un peu sur sa faim même si on se doute que l'avenir ne sera pas fait que de bons jours...