Master of Blackholes

La scène d'ouverture nous montre la naissance d'un dénommé "Kal, fils de El", et la chute de la planète Krypton, la planète s’éteint à cause de trop de ressources pompées, entraînant l'extinction de tous les Kryptonniens, ou presque...

Le père de Kal-El sauve ce dernier encore bébé en l'envoyant in-extremis sur une planète nommée Terre...

Saut de trente ans dans le futur de Clark Kent, on découvre comment il vit en cachant ses pouvoirs au monde, mais se fait rattraper par son besoin compulsif d'aider tout le monde. Via des flash-backs et un montage plutôt bien réussi, on observe également comment il a dû grandir avec ces pouvoirs.

Arrive alors des survivants de Kryptons qui ont envie d'en découdre avec notre ami, car ils sont méchants. Ils ont survécu à l'explosion de Krypton car ils étaient emprisonnés sur une planète voisine. Comme ce sont des méchants, ils veulent tuer Kal-El et anéantir tous les Terriens pour faire renaître Krypton.

Clark devient alors Superman pour sauver le monde, pendant que les Terriens se demandent s'il est allié ou ennemi, car les Kryptonniens, ils ont pas l'air cool quand même.

Face à l'acharnement de ses anciens concitoyens, Superman use d'armes à sa mesure, comme par exemple un trou noir aspirateur de méchants qui s'ouvre dans l'atmosphère terrienne et qui se referme bien gentiment une fois son travail accompli ! Il doit encore y avoir des lois de l'univers qui nous échappent, nous pauvres terriens, parce que ça, c'est fort !

Hormis ce genre de délires qui apparaissent parfois dans le script, le film est agréable à regarder et n'a pas trop de longueurs malgré ses 2h20.