Manika (Ayesha Dharker), 10 ans, vit dans un petit village côtier au sud de l’Inde. Elle dit avoir déjà vécu, s’appeler Lakshmi, et met tout en œuvre pour retrouver le lieu de son ancienne incarnation et son ex-conjoint.
Le scénario est pertinent avec une construction efficace et réaliste des personnages. À sa sortie, le film reçoit le prix du public à Cannes.
Obstacles : Manika est démunie, sans argent pour se rendre au Népal. Sa famille ne peut la soutenir, mais le père Daniel l'aide dans sa quête.
Résolution finale : Manika et le père Daniel, les 2 protagonistes principaux, grandissent dans une quête où la vérité doit l’emporter : Manika en retrouvant sa sérénité après confirmation de l’existence de sa vie passée et le père Daniel qui découvre une vision élargie de sa foi en y incluant la croyance en la réincarnation. Suite : https://thierry-augustin.fr/2016/07/19/manika-une-vie-plus-tard-film-spirituel/