La vérité vraie
Le début annonce directement la couleur, la cinéaste fait une comparaison antisémite, se servant de la shoah pour parler des "idéologies mortifères" : les sectes, Hitler, et en sous-texte...
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le 22 mai 2024
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Le début annonce directement la couleur, la cinéaste fait une comparaison antisémite, se servant de la shoah pour parler des "idéologies mortifères" : les sectes, Hitler, et en sous-texte "l'idéologie transgenre", avant de montrer une scène de viol, on est donc face à du choc. Elle questionne ce qui fait que des gens puissent se faire manipuler, tout en déployant elle-même un arsenal manipulatoire : choc, appel à la nature, utilisation de musiques angoissantes, elle sait ce qu'elle fait avec son approche relevant d'une soi-disant pensée critique.
Elle affirme peu de temps après que notre cerveau est cablé pour différencier instantanément un homme d'une femme (dont on peut trouver des contre-exemples), oubliant par ailleurs les intersexes durant la totalité du documentaire, les mutilations sur ces enfants pour les faire correspondre à un genre binaire relevant du cisgenrisme ne l'intéresse visiblement pas, ballot pour une personne qui tente de faire croire qu'elle tient à protéger les enfants.
On a le droit à de la psychiatrisation, comme à son habitude pour le "bien" des personnes qui ne peuvent pas prendre des décisions selon elle (c'est à dire les enfants, les handix, fols), met en avant que des femmes trans ont commis des crimes, avec un lien qu'elle établit avec la folie.
Ce documentaire est navrant sur tous les points, vous n'êtes vraiment pas les activistes que vous pensez être en partageant ce genre de documentaire, aimé par Karl Zéro par ailleurs, il conviendrait de se questionner à partir de là.
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le 22 mai 2024
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