En 1987, entraîneur de football Jim White (Kevin Costner) ayant perdu son emploi dans l'Idaho, en retrouve un au fond de la Californie à McFarland et sera éducateur physique et entraîneur adjoint de football. IL découvre sa petite maison, très mignonne et se voit entouré de toute la communauté hispanique de la ville, je dirais même il n'y a qu'eux qui ne sont pas hispaniques. Mais cela n'empêche en rien la sympathie de toute cette population, c'est déjà un tout grand point. Bon j'accélère il va le lendemain matin prendre place à son poste et découvrir ses élèves. Après un problème avec l'entraîneur de foot il se doit de trouver une alternative pour continuer d'avoir les heures suffisantes d’éducateur physique, alors en voyant courir les élèves de si belle façon, il se dit... Tien une nouvelle discipline est entrée en vigueur en Californie et c'est le cross-country et il va persuader le directeur de l'école de le laisser monter une équipe ce cross, ce qui se fera, White remarquera un jour ce que ses élèves faisaient par jour; 5 heures du matin aux champs pour la récolte, puis retour en classe, puis retour aux champs et après seulement entraînement de cross. Chez White cela a fait tilt et il a compris le courage de tous ces jeunes avaient. Après des semaines de dur entraînement, première course, première victoire, mais cela n'est qu'un début et tout doit continuer et le fera jusqu'au grand jour de la compétition finale de la meilleure équipe et ville de Californie. Tout le monde sans avoir vu le film le sait, hé oui c'est McFarland qui devient champion et le sera en tout 7 fois avec équipe différente, mais le même entraîneur, car White a décidé avec sa famille de rester dans cette merveilleuse petite ville aux habitants si gentils. C'est vrai que c'est un film peut et sûrement complètement prévisible mais qui malgré tout sera toujours divertissant. Avec McFarland, USA, la réponse est un oui sans réserve. Je dois admettre que le récit suivre le battement de la volonté et du courage à toutes épreuves de ces jeunes, nous pousse au respect. Ma note sera donc de 8/10