Depuis que papa est mort tué par une morsure de serpent, les Daniels ont une terrible phobie des serpents, sauf Duff qui développe une passion pour ces derniers. Il trouve chez un spécialiste de ces reptiles, un UNTEKAAAAAA enfermé dans une jarre minuscule.
Le vendeur de serpent est un indien dernier survivant de sa tribu décimée par ledit reptile. Si il était amené à sortir de sa jarre, ce dernier verrait sa taille décuplée et deviendrait un montre colossale, mangeur d'homme in-tuable, sauf si l'on respecte la règle lorsque l'on est présenté à un UNTEKA monstrueux : "n'aie pas peur du coeur du serpent". En gros ça veut dire deux choses : le serpent détecte les humains seulement par leur peur et qu'on ne peut tuer un unteka que depuis l'intérieur de celui-ci. Trop fier pour le vendre, l'indien se fait subtiliser le serpent par Duff qui va le ramener chez lui. Vous vous en doutez bien, Duff n'est pas très adroit et brise la jarre contenant le serpent. C'est là que le film commence a donner du rêve (quoique l'indien dernier survivant d'une tribu décimée par un unteka en envoie pas mal aussi) : une chasse effrénée au unteka qui lui même va manger tout se qu'il trouve (des poulets des Daniels à la famille Ingalls qui fait un barbecue au bord du lac), en passant par une histoire d'amour passionnante.
Je ne pourrait en dire beaucoup plus sans vous gâcher le plaisir de ce film, qui vous l'aurez compris, est un bon gros nanar de derrière les fagots, avec de puissants dialogues et un scénario à toute épreuve.