« Moi, j’étouffe »
Le film présente deux aspects du Liban : celui de la morbidité de la guerre face au désir d’expérimenter, de libertés d’une jeunesse reluisante. Fortement autobiographique, le métrage montre une...
Par
le 27 juin 2022
4 j'aime
2 films ce côtoient et s'annulent : un de force esthétique qui témoigne du talent de plasticiens des deux auteurs ; un extrêmement convenu et qui rate totalement sa réflexion sur la mémoire, l'Histoire, ses deuils et ses reliefs.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Janvier 2022 / Cinéma
Créée
le 25 janv. 2022
Critique lue 111 fois
4 commentaires
D'autres avis sur Memory Box
Le film présente deux aspects du Liban : celui de la morbidité de la guerre face au désir d’expérimenter, de libertés d’une jeunesse reluisante. Fortement autobiographique, le métrage montre une...
Par
le 27 juin 2022
4 j'aime
Les intentions sont bonnes, on le sent. « Memory Box » est une œuvre originale et d’une grande sincérité. Mais comme le dit l’adage les meilleures intentions ne font pas toujours les meilleurs films...
Par
le 24 janv. 2022
3 j'aime
Beaucoup d'émotions parcourent Memory Box, construit à partir de deux temporalités : en 2019 à Montréal et plus de trente ans plus tôt, à Beyrouth, en pleine guerre. Des regards de filles et de...
le 19 janv. 2022
2 j'aime
Du même critique
Dans des plans très beaux (quoiqu'empruntés au naturalisme des Dardenne), Dhont offre des rôles superbes à L. Drucker et E. Dequenne. Mais l'ensemble souffre de nombreuses facilités de scénario pour...
le 27 mai 2022
8 j'aime
Indispensable pour son sujet et ce qu'il témoigne des violences sexuelles faites aux mineurs. Mais, comme objet de cinéma, hormis les inventions exportées du théâtre, il n'invente rien. Et...
le 20 nov. 2018
8 j'aime
8
La puissance de cet EP, derrière la modestie de son contenu, tient à la sagace composition de ses beats, entre rap, hip hop et dubstep franc, et à la plume aiguisée et percutante de son auteur,...
le 25 mai 2017
8 j'aime