Thriller au format court de 1h25, Mercy recycle Jonathan Rhys‑Meyers et Jon Voight, tous deux totalement disparus de la surface des films potables. Et le tout orchestré par un spécialiste des téléfilms mielleux. Donc malheureusement, quand on a pas les bases du film d'action, on se récupère des scènes d'action vachement mal faites - surtout qu'au final, il n'y en a qu'une seule, le reste se déroule dans un hôpital (rien de plus simpliste) pour un déroulement absolument pas convaincant (une prise d'otage) et un père et le fils qui doivent retrouver une personne protégée par le F.B.I., une femme médecin qui nous ressort ses plus belles prises sur son passé en Afghanistan.
En vérité, c'est vraiment du niveau Walker Texas Rangers, il manque plus qu'un Chuck Norris et on a encore plus une bouse. Je ne sais pas ce qjui est le plus énervant entre des mimiques de Michelle (Leah Gibson) ou celles de Rhys-Meyers et cette fin aussi brouillonne que toute l'idée du film. De la bonne daube