Du pur cinéma
Tout simplement du grand cinéma. Si les deux volets sont réellement différents, ils se complètent parfaitement et le personnage Mesrine, plus complexe qu'on a bien souvent voulu le décrire, est ici...
Par
le 19 juin 2011
24 j'aime
Deux films sinon rien, telle était la volonté farouchement défendue envers et contre tous par Thomas Langmann pour évoquer « L’homme aux mille visages ». Son audace paye tant la trajectoire de Mesrine, digne d’un polar rocambolesque, s’avère cinématographique. On est conquis par le scénario documenté et nerveux, par la puissance d’interprétation de Cassel (Mesrine c’est lui) et le style Richet (accrocheur et sans esbroufe, au contact de l’homme, de sa complexité.
Clin D'œil :
Pour jouer Jacques Mesrine, Vincent Cassel n'a pas hésité à prendre 20 kilos. Idem pour Samuel Le Bihan qui incarne le malfrat Michel Ardouin.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les films vus le plus de fois, Les meilleurs biopics, Les meilleurs films tirés d'une histoire vraie, Les meilleurs films des années 2000 et Les meilleurs films de gangsters
Créée
le 9 mars 2017
Critique lue 279 fois
D'autres avis sur Mesrine - 1ère Partie : L'Instinct de mort
Tout simplement du grand cinéma. Si les deux volets sont réellement différents, ils se complètent parfaitement et le personnage Mesrine, plus complexe qu'on a bien souvent voulu le décrire, est ici...
Par
le 19 juin 2011
24 j'aime
"_Quand je serai grand, je serai Jacques Mesrine. _Belle ambition! Pourquoi? _Ce mec, il a de l'honneur. _Ah oui? Et c'est quoi l'honneur? _Si tu me manques de respect, j'te fume et je nique ta mère...
Par
le 9 oct. 2015
22 j'aime
On pouvait s'attendre une œuvre à la gloire de ''Merine''... et bien non! Sans parti pris, le film nous fait suivre froidement le parcours d'un mégalo grande gueule et velléitaire, qui n'a pas...
Par
le 7 déc. 2009
11 j'aime
3
Du même critique
Du roman de Boileau-Narcejac, Henri-Georges Clouzot tire un monument de noirceur et d'angoisse porté par les performances mémorables d'un trio infernal entouré, entre autres, d'un débutant dénommé...
Par
le 15 avr. 2016
9 j'aime
Sous la forme d'un conte de fées moderne, Tim Burton aborde le thème de l’exclusion. Adoptant un parti pris esthétique original, cette fable dotée d’une étonnante composition de Johnny Depp est un...
Par
le 2 déc. 2015
9 j'aime
Rita Hayworth, d'une beauté flamboyante, aussi glamour que vénéneuse, sublime et enflamme ce film noir tout en mystères et en sous-entendus, où chacun des personnages révèle peu à peu sa vraie...
Par
le 26 déc. 2019
7 j'aime
5