Du pur cinéma
Tout simplement du grand cinéma. Si les deux volets sont réellement différents, ils se complètent parfaitement et le personnage Mesrine, plus complexe qu'on a bien souvent voulu le décrire, est ici...
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le 19 juin 2011
24 j'aime
Deux films sinon rien, telle était la volonté farouchement défendue envers et contre tous par Thomas Langmann pour évoquer « L’homme aux mille visages ». Son audace paye tant la trajectoire de Mesrine, digne d’un polar rocambolesque, s’avère cinématographique. On est conquis par le scénario documenté et nerveux, par la puissance d’interprétation de Cassel (Mesrine c’est lui) et le style Richet (accrocheur et sans esbroufe, au contact de l’homme, de sa complexité.
Clin D'œil :
Pour jouer Jacques Mesrine, Vincent Cassel n'a pas hésité à prendre 20 kilos. Idem pour Samuel Le Bihan qui incarne le malfrat Michel Ardouin.
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Créée
le 9 mars 2017
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le 19 juin 2011
24 j'aime
"_Quand je serai grand, je serai Jacques Mesrine. _Belle ambition! Pourquoi? _Ce mec, il a de l'honneur. _Ah oui? Et c'est quoi l'honneur? _Si tu me manques de respect, j'te fume et je nique ta mère...
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