Missionary Man par zeugme
Dolph Lundgren est un cas, mais tout le monde le sait déjà. Ce que tout le monde ne sait pas, c'est que ce film est une promotion de l'euthanasie forcée des mauvais scénaristes. Quelqu'un à probablement vu Johnny Mnemonic une fois de trop avec quelques verres dans le nez et s'est dit que le coup de l'homme de foi armé mais redresseur de torts c'était une bonne idée, suffisante pour tenir un film. Le problème c'est que le gars n'avait probablement qu'une note de restaurant sous la main pour écrire et que le film en est resté à ce stade de développement.
Mention spéciale pour l'action filmé sous prozac, et l'allure visuelle générale du film qui évoque la webcam défaillante au milieu du désert. Autre mention pour les parties de l'histoire abandonnées en cours de route et le développement évanescent du personnage (il aime la téquila, il se ballade avec une bible .. et c'est à peu près ça).
Un grand moment de n'importe quoi.