Avant de commencer cette critique, il est nécessaire d'effectuer une petite mise en contexte : j'ai été forcé, obligé, contraint de regarder ce film. Bien que bon public à l'accoutumée et sachant que l'habit ne fait pas le moine (pour le coup, ici c'est le cas), j'étais sérieusement réticent à m'infliger les près de deux heures constituant cette daub... ce long métrage.
Néanmoins, il est nécessaire d'être le plus juste possible à l'égard de cette chose (oui, cette chose). C'est pourquoi j'ai attribué la note de deux sur dix. Pourquoi pas un me direz-vous ? Car on ne peut pas mettre zéro. Mais plus étonnant encore, pourquoi octroyer le double de cette (généreuse) note alors que la moitié de celle-ci fut attribué presque contre mon gré ? Une raison simple, même mieux, une raison de vivre : la country
C'est donc cette musique/danse américaine qui demeurera pour moi le seul intérêt du film. Pourquoi la protagoniste est-elle chanteuse de country ? Est-ce volontaire ? Un délire de scénariste ?
À l'instar de l'illustre Dracula ou des reptiliens, la présence et l'importance de la country dans ce film restera un mystère qui ne sera jamais élucidé, ce qui le rend de facto inclassable. Un nanar sur les bords ou un navet, nous ne le saurons malheureusement jamais...