Pour la réalisation de Nahla, Farouk Beloufa a alterné les scènes chantées (mais non sous-titrées), les séquences dansées, les images d’archives (malheureusement peu nombreuses), les séances d’enregistrement en studio. L’alternance est aussi observée entre scènes filmées en intérieur et celles captées en extérieur. Ces dernières prises sur le vif pour la plupart visent à rendre compte de reconstitutions, souvent maladroites. Lire la critique complète.
Créée
le 17 déc. 2020
Critique lue 193 fois
1 j'aime
Du même critique
Le bleu du caftan relève d’un cinéma combinant à la fois poses et pauses. Reconnaissons à Maryam Touzani la qualité de sa composition cinématographique. Les cadres et la photographie du film sont de...
le 20 mars 2023
8 j'aime
1
Après la réalisation de plusieurs courts-métrages dont L’accordeur en 2010, Olivier Treiner livre son premier long-métrage titré Le tourbillon de la vie. Il peut être dessiné un lien entre...
le 23 déc. 2022
8 j'aime
Piège pour Cendrillon fait partie des films les plus rares parmi ceux réalisés par André Cayatte. Avec l’aide de Jean Anouilh, le cinéaste adapte sur grand écran le roman éponyme de Sébastien...
le 4 janv. 2020
5 j'aime
