Ceci est ma première critique live, c'est-à-dire écrite pendant le film. Donc attendez-vous à avoir des spoilers tout le long de la critique.
HOP! Télé allumée, c'est parti!
- Je prends le film, chez le médecin. Narcolepsie déclarée et médecin légèrement blagueur.
- Le personnage principal raconte sa vie. Le garçon n'est pas tout seul dans sa tête.
- Tiens, ils vont à des soirées où ils passent du Trust et du Visage. Ces ados sont des rebelles mais ces ils ne peuvent pas être foncièrement mauvais. Bon, ils écoutent du Blondie quand même....
- "Le pied est à la femme ce que la barbe est à l'homme : le signe d'un véritable épanouissement"..... Cette phrase peut bouleverser bien des sociétés !
- Le mec vient de s'endormir pendant le repas, et tout le monde s'en fout ! Vive la famille...
- Bon, en même temps, il s'endort partout. Et est donc viré de partout.
- Une séquence originale et bien foutue avec le fisc vu comme la police. Assez remarquable, tout comme le "No fuckin' job".
- En pleine nuit , comme dirait Tal, il a trouvé un sens à la vie qu'il mène, et il l'aime YEAHYEAH !
- Benoît Poelvoorde = Lenny Bar. ..... Etonnant? D'ailleurs il est hanté par Jean-Claude Van Damme. Entre Belges, on se soutient.
- "Je bois pas, j'ai souvent soif, c'est pas pareil." 2e grande phrase de la soirée!
- Guillaume Canet fait un étrange rêve intersidéral dans une navette en forme de cannette de bière...
- Pendant que le fils du personnage de Guillaume Canet ( Gus ) est en pleine crise d'adolescence, j'ai une théorie, du moins une interrogation : est-ce un hasard que le verlan de Narco , c'est "Connard"?
- Anne Marivin, Phillippe Lellouche, Sinclair, Guillaume Galiienne : en deux minutes, c'est la valse des guests!
- "Je vous demande d'applaudir sous vos applaudissements..." : y'en a encore beaucoup du genre?
- La "mort" si on peut dire ça, du patriarche, est pathétique.
- Les dessins sont très beaux, on ne peut pas enlever ça au film.
- Un patin dans la gueule, ça c'est fait... Mais j'comprends toujours pas le délire du film après presqu'une heure de visionnage.
- Benoît Poelvoorde est un très bon acteur, il n'y a rien à dire. Guillaume Canet, ben ... Guillaume Canet.
- L'idée de projeter la B.D. en réalité grâce à la bande-son est une pure idée.
- Utiliser le talent de son pote (ou mari) pour faire du fric sur son dos --> le verlan de Narco est bien "Connard".
- Canet n'a pas dit une seule chose de réfléchie en tant que narrateur. A quoi sert-il?
- Conseil à tous les narcoleptiques : tomber dans le coma, vous serez guéris !
- Le film commence à se dessiner après 1h et quart de visionnage.
- Elle est sensuelle cette Uma Thurman... Ah non merde, c'est la pub'.
- Je plains l'ado en fait. Avec des parents si ... excentriques. Regarde la tête de Zabou Breitman une fois les cheveux teints, tu comprendras.
- Y'a Passe-Partout qui fait guide de bibliothèque.
- Guillaume Canet a découvert le pot-aux-roses. Et ça va chier.... Ou pas!
- Très bon montage avec Galienne en train de conduire.
- Ah si, ça chie, il a mis sa femme à la porte. En même temps, elle a un
peu cherché.
- Pour la 569eme fois du film, Poelvoorde se trimbale en slip et boit de
la bière. En plus, il parle à Van Damme ; ça y est, il est fou!
- Gilles Lellouche et sa soeur ont une drôle de dégaine quand même.
- L'amitié c'est qu'il y a de plus beau. Morale? Attendez ce n'est pas encore fini...
- Ce film vous présente la plus rapide résolution d'enquête de police
jamais vue au cinéma.
- Tout rentre dans l'ordre ou presque. Les gentils trouvent un boulot et recommencent une nouvelle vie. Les méchants vont en prison et recommencent une nouvelle vie. Et Guillaume Canet fait un barbecue.
- Sa femme est revenue avec son fils, la famille est heureuse et est de nouveau réunie, et tout se finit dans un sourire. Tellement prévisible pour ce film imprévisible...
- Dernière question du narrateur : "Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise?" Ben rien, justement, tais-toi.
- Ah, générique de fin, déjà! Allez, allons nous mettre devant Touche pas à mon poste, histoire de sauver sa soirée.